• Modification génétique (lire avant mort suite svp sinon cela n'a pas de sens )


     

    Certes le monde médical a évolué, allongeant perpétuellement notre espérance de vie et repoussant la mort de l'humanité.Mais quant n'est t'il du clonage, des armes atomiques, des organismes génétiquement modifiés,.... ?La finalité de la recherche médicale n'est t'elle pas altérer par celle du génie civile et des généticiens ? Quelle prouesse en soit d'avoir mis en place le premier bébé éprouvette, mais quelle conséquence psychologique désastreuse pour l'enfant ! La nature est farouche, elle n'aime pas être manipuler et modifier, hormis par son évolution naturelle. Sa vengeance est d'autant plus sanguinaire et impitoyable, quant elle se retrouve dégrader et humiliée.Les faits sont parlants. Observons un phénomène connu de tous celui de la vache folle. L'homme a voulu contrefaire la nature, en alimentant des bovins de chairs animales .Or il en va de soi que la vache est un animal végétarien. Quelque années passées , cette maladie atteignant les bovins a remonté la chaîne alimentaire pour s'attaquer directement à l'homme , en particulier à ce qu'il a de plus chère , son cerveau, comme par hasard.....Ceci n'a nullement refroidit les généticiens , continuant une lancée insatiable dont l' objectif fixé est de maîtriser le génos , la vie et modifier cette grande architecture vitale. Je pense que la nature se doit d'être contemplée , expérimentée mais surtout pas modifiée. Ce n'est nullement par mysticisme que je dis ça , mais plutôt car quant on la modifie , il y a beaucoup d'effets qui nous échappent et nous dépassent. On peut déjà percevoir certaines conséquence de l'avancée technologique et de la science comme la pollution , les trous dans la couche d'ozone , le dérèglement progressif des saisons, les dérèglement sociaux culturels,....Mais on est loin encore de percevoir les autres effets causés par ces différentes avancées, car ce sont souvent des effets à très long terme que notre génération ne pourra pas percevoir?La vengeance est un plat qui se mange froid.Cette soif de maîtrise du réel nous perdra !
    Ma vision de la mort n'est pas seulement individuel mais est surtout collective.Le visionnaire va se projeter vers l'avenir et prévoir le futur visage de notre société.Il va entrapercevoir certaines faiblesses qui vont peut être devenir de fatales désastres. Non pas à la manière paranormale de Nostradamus , visionnaire mystique et provocateur , prévoyant une fin du monde imminente suite à d'innombrables catastrophes. Mais pointer du doigt certains symptômes alarmants, pouvant mener l'homme a sa perte. Maintenant que tous ce mondialise au travers d'un libre échange et d'une communication florissante même dans les pays les plus démunis, le monde semble afficher une plus grande cohérence et une stabilité sécurisante. Le monde social semble ressembler à une énorme toge de tissu multicolore recouvrant notre très chère planète bleue ,dont les mailles sont déchirées encore de part et autres par des conflits ponctuels. Ainsi tous les éléments composant cette toge sont liés de manière plus ou moins étroite. La communication , le commerce extérieur tentent de briser définitivement les frontières et à bannir l'isolement éthnique. Mais l'ouverture des frontières n'a-t-elle pas été descendante , et non ascendante ?Elle s'est en effet établit d'un haut développé vers un bas démunis.Elle s'est alors opéré de manière univoque et imposé,forcé,intéressé et non dans une logique d'échanges pacifiques.Ce phénomène décrit les vagues de colonisations.Cette toge sociale que je décrivais tous à l'heure prend soudain une allure moins harmonieuse et chaleureuse ,quant l'on sait que cette toge social n'a pas été tissé par l'unanimité mais a été imposé par une tyrannie du haut."Quand la merde vaudra de l’or, le cul des pauvres ne leur appartiendra plus. "
    Henry Miller.L'inde, la Chine, le Japon, l'Afrique ont été en effet pendant longtemps l'esclave des occidentaux et des Américains. Il serait naïf de croire que cette soumission subit pendant plusieurs siècles , ne mèneront pas vers quelques sentiments vindicatifs et rancuniers.Cette vengeance n'est pas encore visible puisqu'elle ne s'exprime pas ouvertement , elle reste galvanisé dans leur cœur , mais ne demande qu'à exploser.La paranoïa c'est la réalité à petite échelle. Le potentiel de la Chine et du Japon , est colossale .En effet l'alliage entre un potentiel humain englobant plus d'un tiers de la population mondiale avec celle d'une surface géographique énorme regorgant de ressources encore inexploitées, va les propulser dans les rangs des premiers puissance mondiale durant les prochaines décennies avenir. Or l'émergence d'une puissance économique telle que la chine va entraîner de gros déficit pour les occidentaux et les Americains.La concurrence féroce régnant sur le marché mondial va tendre à s'accroître violement , entraînant une vague de décentralisation et une migration des capitaux vers ces pays. Le phénomène que je décris est déjà d'actualité, en effet beaucoup d'entreprises fuient notre main d'œuvre onéreuse et surqualifiée, pour se réfugier directement la ou elle se trouve nettement plus rentable.Cette désertification des entreprises dans nos pays, va engendrer à long terme une disette dramatique sur le marché du travail en Europe. Tous cela s'accompagnera d'un élitisme occidental se traduisant par une prolongation des études inutiles , et de plus en plus coûteuse, qui ne sera à la portée que des plus riches.Cette progression constante de ce phénomène , va mener vers un soulèvement social virulent ce traduisant par une vague de manifestations de la jeunesse remettant en cause un libéralisme ravageur et meurtrier.On va alors assister à une guerre d'intérêt entre un gouvernement devenu protectionniste , soumis à une pression populaire insatisfaite et enragée, et celle des entreprises omnubilé par la rentabilité. Or le libéralisme est trop bien implanté pour se voir détrôné. Ce grand dilemme va dans les prochaines années faire couler beaucoup de sang, avant qu'un nouveau système révolutionnaire se substitue à ce dernier.


    On pourra noter en parallèle de cette violence, une uniformisation de la culture, traduisant un des plus gros malaise engendré par la mondialisation .Les cultures de masse vont se substituer progressivement à celle des cultures traditionnelles. Le monde deviendra ainsi un tableau culturel quasiment homogène. On peut déjà constater certains symptômes affligants et consternant quant l'on voyage à l'autre bout du monde et on y retrouve ce que l'on a laissé avant de partir.J'aimerai tant me tromper dans mon raisonnement quant je tiens des propos aussi extrémiste, mais j'ai peur qu'il soit bien réel....
    La science semble trouver souvent son utilité au travers de recherches contraire à l'éthique et contre nature.Entre les fétus artificiels , ou le grand débat de l'homme enceint apparaît , et les organismes génétiquement modifiés , la recherche franchit certaines limites dangereuses et alarmantes . En effet, outre l'aspect révolutionnaire de ces découvertes, elles peuvent s'avérer désastreuse dans les siècles à venir. D'une part au niveau éthique , ou la science entrave et tue progressivement une morale universelle , mais également au niveau de certains effets secondaires telles que sociales , psychologique, biologique , échappant complètement aux scientifiques. L'avancée de la science modifie progressivement un équilibre biologique complexe fragile et extrêmement sensible . Les effets des différentes innovations scientifiques de ces dernières décennies ont déjà causés de gros dégâts environnementaux, et vont dans les années a suivre toucher l'homme non seulement de part une nature dégradée, mais également au travers d'un dégénérescence de son génos et de son équilibre éthique, social. Le monde social gravite autour de valeurs éthiques fondamentales. IL me semble que la premier des valeurs concernes ceux a qui ont va donner la vie .Il est légitime que le futur nouveau né se doit d'avoir une croissance naturelle et d'avoir de surcroît une structure familiale hétérosexuelle.Dans le cas contraire, on peut l'exposer à des risques non négligables et pouvant déstructurer sa structure psychologie à long terme. Dans ce doute potentiel de ces effets secondaires néfastes, il est inadmissible que l'on accepte de le faire subir à un nouveau né.Malheureusement la science est bien trop égoïste, et pense à la survie de ces innovations au travers des capitaux qu'elle génère, en dépit des conséquences désastreuses qu'elle prolifère.Tandis que le scientifique dans cette soif de maîtrise et de conquête, se voit aveuglé par l'avancée fulgurante de ces recherches.
    Mes heures sont comptés et précieuses.Chaque minutes passées, et j'ai la sensation d'avoir rater une occasion pour m'épanouir, m'émerveiller , m'étonner Cette angoisse existentielle accélère et illumine mes envies.J'ai envie de vivre une existence lumineuse remplit de rebondissements .Pourquoi certaines jeunes cristallisent leur existence dans cette soif de reproduction et de maîtrise du réel. Ont t'ils préférés la facilité d'un moule par faiblesse, paresse ,manque d'esprit, influencé par le poids de la masse ou du cocon protecteur ?Pourquoi chercher à fuir une mort au travers d'ornements purement instinctifs et primaire ?C'est une jeunesse sénile et stérile.Seul l'expérience du voyage pourra m'ouvrir les yeux et m'extorquer du microcosme dans lequel je stagne.Une fois que j'aurais effectué le tour du monde, je penserais peut être à fonder une famille et à me replier dans un monde matérialiste.Que vais-je transmettre à mes enfants sinon... ?Je porte de moins en moins d'intérêt et d'attache à un pays croulant dans la mondialisation.Mon identité n'a pas de sens, hormis le fruit qui m'a donné naissance et je n'ai pas envie d'adhérer à tous ces stéréotypes médiatiques. Même ma famille respire l'ère du temps et me dégoûte. Je ne cherche pas à fuir en essayant de trouver mon bonheur , mais de goûter à d'autres sensations émotionnelles et expériences nouvelles auxquelles je ne pourrais être confronté si je restais statique, être en mouvement c'est sa me sentir libre

    Sentiment de liberté

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    Mais comment éprouver ce sentiment de liberté ? La plus belle des libertés, a été obtenu par ceux diplômé de l'école de la vie , ces écoliers d'une réalité angoissante ,éprouvante, soumis très tôt à un enseignement sévère , intransigent , et qui par la force de leur volonté,leur détermination, on réussit à surmonter avec succès ces épreuves pour gravir cette pyramide lumineuse .Malheureusement peu se sont dirigé vers un chemin ascendant ,et réellement épanouissant, beaucoup se sont fait dupé par l'illusion d'une réussite sociale, l'aveuglement d'une masse stéréotype,d'un cocon ou le fatalisme d'un échec .Les illuminés sont rares ,ce sont les survivants d'une lumière aveuglante et doulourouse.Ils possèdent cette capacité à refléter cette lumière nocive et brûlante qu'est la réalité, et la retranspose sous la forme d'une réflexion créative, d'un savoir vital.La liberté ne passe pas forcement par cette volonté de briser ces chaînes d' obligations ou d'arriver à la fin d'un marche ou crève effréné vers la réussite sociale.L'épanouit n'est pas celui qui à réussit à se soumettre à la norme d'une réussite , mais vers ce que son identité unique l'inspire. Cette liberté passe ainsi par une introspection profonde de notre personnalité.Comme le soulevait Socrate « une vie sans examen ne mérite pas d'être vécu ». Celui qui ne se connaît pas, ne peut être réellement épanouit et libre, il sera toujours emprisonné par des actes et une vie qui ne lui appartiennent pas.Beaucoup d'actes et d'actions sont malheureusement l'esclave du monde extérieur à son fort intérieur. Je pourrais énoncer une masse d'exemple illustratif...Il suffit de poser à certaines personnes la raison qui les à poussé d'agir d'une certaine manière pour constater que la cause de l'action déterminante ne venait pas de sa volonté mais de celle des proches ou enclenché par une situation extérieur .J'entend souvent des individus se plainant de ne pas avoir eu la chance de réussir comme certains , sous le prétexte d'une situation financière ou familiale délicate, mais qui souvent cherchent à camoufler une erreur de parcours qui leur appartenait directement. Les erreurs n'appartiennent qu'a nous meme.C'est un raisonnement cruellement réaliste.Certes, la vie est une chaîne d'actions et d'interaction avec l'environnement extérieur , mais il faut que ces interactions ,agissant directement sur nos actions, ne soit pas systématiquement subies, même si certaines restent inéluctables. Certes la société comme le souleva Rousseau , peut corrompre, diriger et détruire l'homme faible, mais sûrement pas l'homme de raison, responsable de lui meme.L'homme faible peut s'assimiler soit à un figurant inactif c'est-à-dire un suiveur, soit l'acteur aigri et fataliste :Rousseau, ou le marginal,l'exclu. Surtout ne laissons pas nos actions se faire dirigeaient aveuglement par une cause spontanée, ponctuelle.Le succide est un acte spontané et irréfléchi, hormis le cas du dépressif maladif qui est réfléchis sur le long terme, il est déclenché souvent par une cause bien précise dont il a la sensation fataliste de ne pouvoir la surmonter.Or, dans beaucoup de cas cette pulsion est surmontable des lors qu'elle se retrouve raisonnée. Cependant il est vrai d'admettre que l'enfance, peut être un facteur déterminant dans les actions que l'on va pouvoir mener.L'entourage des proches influent en effet directement sur notre existence surtout lors de l'enfance.
    Mais que représente cette raison ? Quel est son moteur ? La raison est cette capacité intellectuelle à rationaliser le réel .Son moteur est le questionnement.Un homme dépourvu de raison, agira sans logique , et sera l'esclave et la victime de ses pulsions émotionnelle et sensibles ou celle d'autrui.Or vivre purement de ses pulsions , c'est vivre de manière irréflechie.Dans cette logique , la thèse de Rousseau prend un sens puisqu'il s'agit surtout de l'être pulsionnel qui se retrouve victime de la société.Rousseau est un de ces rebelles égocentriques ,aigris et bornés, révoltés contre un système qu'il n'arrivera jamais à changer .Or il est la victime de son propre raisonnement.C'est la société corrompt l'homme je vais donc vivre dans la rébellion , l'homme libre c'est l'homme marginal !....
    L'arme la plus puissante pour remplir des moments de vide existentiel ou des situations accablantes, rigide n'est t'il pas le rire. Quoi de plus puissant que de pouvoir rire de sa mort et de sa propre race? Un rire enivrant qui nous anime, nous remet en mouvement dans un moment ou tous semble stagner.Qui n'a jamais connu des fou rire mémorables , ou l'espace d'un moment , nous oublions totalement nos préoccupations. Le rire permet d'évaquer des tensions violentes, et libère un bien être spontannée.Nous rions d'une existence trop courte pour être pris au sérieux.Heureusement que la comédie est présente pour assouplir une humanité borné. La vie devient tous d'un coup ludique, et va jusqu'à ridiculiser toute les formes de souffrance, même les plus cruelles.
    Nous sommes des êtres fondamentalement sensoriels.Profitons de ces sens que la vie nous a offert, pour savourer au maximum les moments de plaisirs. Imaginez vous être capable d'émerveiller vos cinq sens simultanément ,tandis que votre corps est plongé dans un bain de bien être d'où s'échappe une odeur magique et enivrante , votre goût devenu l'esclave d'un met exquis, est stimulé par un son enchanteur s'accompagnant d'un décor mirifique, féerique. Cette symbiose des sens est orgasmique et n'est possible que s'ils sont stimulés en même temps. Il est difficile de coordonner nos cinq sens de façon à ce qu'ils soient en phase .Notre imaginaire n'a aucun mal à vous le faire ressentir , mais dans la réalité cela en devient idylique. C'est dans ces moments, que nous nous éloignons le plus du morbide.
    On pourrait passer d'une extrême sensation de plaisirs à celle d'une incommensurable souffrance ,si dans cette même logique nos cinq sens étaient stimulés de façon à se retrouver au bord du gouffre de la mort.Les rescapés des camps de la mort, on sûrement du ressentir cette sensation, mais également celle , lors de leur mise en liberté , d'une sensation de jouissance sensorielle puissamment fusionelle.Serais ce en subissant un vide existentiel profond et morbide, que cette jouissance vitale extrême prend naissance ? Ne serais ce pas dans l'amplitude sensationnelle que l'homme éprouve ce bonheur orgasmique puissant ?


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  • Notre instint animal ( lire d'abord l'introduction sinon ca n'a pas de sens!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  c'est à dire le titre LA MORT)

    Même le rêveur, assouvit pas cette passion du paradie insulaire, aura une fois son désir accomplit un manque .Une vie sans manque, serait celle d'une existence sans but ?
    En observant la pyramide de Maslow, on peut remarquer les différentes étapes menant vers l'accomplissement de soi. Il y a tous d'abord les besoins psychologiques (se nourrir, s'habiller, dormir), puis les besoins de sécurité (le cocon familiale), le besoin d'appartenance (les amis), d'estime de soi et enfin l'accomplissement personnel. Selon moi, si aucun de ces besoins n'est assouvi, c'est la place à la débauche, la drogue, l'exclusion, ou le suicide.
    L'acte sexuel je pense est vital car il nous permet d'accéder a un orgasme,plaisir ultime et satisfaire notre coté bestial alliant à la sensualité,l'affectif, une brutalité instinctive.De plus il nous permet d'accéder à une certaine confiance en nous, d'un égaux revalorisé et surtout d'un accomplissement de soi.Le sexe est également un pilier de l'existence , d'ailleurs les médias ne se prive pas de jouer avec ,car ils connaisent l'ampleur de la porté du sexe sur les hommes et la place prépondérante qu'elle a dans le monde. Remarquons à quel point le sexe est omniprésent, il est le principal phantasme de l'homme. Mais y a-t-il une différence majeur entre la vision féminine du sexe et masculine. Cette différence tend au fur et à mesure a s'effacer , en effet la femme a autant voir plus de pulsion sexuel que l'homme.Tandis que l'homme se jette sur sa proie violement, prend son plaisir de manière quasi instantané et accède à l'orgasme promptement. La femme est moins brutale mais prend son plaisir beaucoup plus sur la longueur et la sensualité, elle peut également avoir une succession d'orgasmes lors d'un rapport ce que l'homme peut difficilement réaliser.Mes propos sont des généralités comprenant un nombre considérable d'exeptions.La femme peut tirer en effet son plaisir en soumettant un homme comme le ferait un male dominant.Une relation sexuelle peut prendre également la forme d'un échange de tendresse .....
    Mais il ne faut pas oublier la bête qui sommeille en nous, et chercher à la fuir.

    D'ailleurs peut-on dire que l'homme est un animal ? Souvent, on vous répond que l'homme n'est pas un animal mais c'est un être humain. Paroxysme de la betisse, puisque l'animal en est un également. Beaucoup refuse par égocentrisme, d'adhérer à la théorie de Darwin stipulant que l'homme descendrait du singe. Il est vrai qu'elle a été démantelé, mais pas dans sa globalité puisque l'homme fait tous de même parti de la même lignée que le singe.De plus avec 99,9% de similitude génétique avec ce primate, tous corrobore pour dire que nous sommes étroitement similaire.Pour répondre à la question précédemment posée, il faudrait définir quelles seraient les nuances majeurs entre l'homme et l'animal. Certes, l'homme est indéniablement l'être vivant le plus intelligent, et qui se place au sommet de la chaîne alimentaire .Cependant, un grand paradoxe prend forme quant on observe certaines actions de l'homme s'affichant au sommet de la bestialité.En effet, quel être vivant est capable de massacrer le plus de congénères ? Les guerres, les tortures marquant la volonté de faire souffrir, les massacres ethniques sanguinaires, semble placer l'homme comme étant indigne d'être un animal. Mais cela est t'il suffisant pour nous donner un statut nous démarquant complètement de l'animal ? L'animal pourrait se définir de part un instinct inné qui ne peut contrôler, or l'homme en possède également un, certes plus complexe. Il a un instinct de survie, de reproduction, ...Mais ces actions peuvent réfléchit, et prennent en compte l'avis des autres. L'animal est incapable d'avoir une réflexion propre et collective, surtout s'il s'agit d'un objet qui ne concerne pas sa survie.Dans cette logique l'animal est purement instinctif , tandis que l'homme outre son aspect instinctif peut être sensitif , réfléchie ,critique . Un animal est incapable de se remettre en question par lui même, il cessera d'agir d'une certaine manière car il y aura un danger, une réprimande, une douleur sensorielle. L'homme peut surpasser ce danger ,repousser ces limites, continuer de souffrir perpétuellement pour atteindre un objectif.Tandis que l'animal ne prendra jamais ce risque puisque cela va à l'encontre de son instinct de survie.Prenons un exemple très simple , un animal encerclé par une barrière de flamme ne va pas chercher à rentrer dans se mur de feu pour s'échapper , l'homme lui le fera comme dernier recours.La réciproque est également vrai, l'homme est capable de faire souffrir volontairement et de massacrer une masse d'individu pour atteindre un idéal politique , religieux, idéologique....L'animal ne cherche pas à faire souffrir , il tue noblement. L'homme s'en donne à cœur joie dans certaine situation .C'est cette nuance qui le rend encore plus bestial que l'animal. On ressent par moment des émotions si complexes et puissantes , qu'elles peuvent dégénérer et engendrer des pulsions meurtrières nous rendant beaucoup plus bestiale que l'animal purement instinctif.Ainsi, la différences majeur entre l'homme et l'animal réside dans le fait que l'homme n'est pas complètement dominé par son instinct car il est capable de le surmonter de part la réflexion, la remise en question et de le décrire ,ce dont l'animal est incapable car il est purement instinctif c'est-à-dire diriger par des pulsions innées .

    Nos pilliers existenciels


    Si la vie ne nous procure plus aucun plaisir, l'action n'a plus de sens.Pourquoi continuer à assurer sa survie s'il n'y a plus de désirs, d'espoir qui nous habite.Le suicidaire semble etre touché par cette vague de sentiments nauseabonds.Il suffit pour certain qu'un désir s'écroule, pour que le monde dans lequel la personne vit, s'effondre violement.Une déception peut mener à un échec définitif et une voie sans issu. Comment expliquer qu'un homme mette fin à sa vie sous le prétexte d'une tromperie ? Humain trop humain, il suffit d'un seul désir pour peupler tout un monde, si ce désir disparaît la raison d'être n'a plus de sens. Nous sommes tous profondément fragile, même Alexandre le conquérant avait une faiblesse profonde celle de l'amour malgré sa carrure de guerrier sanguinaire et impitoyable.La raison d'être a souvent une souche unique qui prime sur les autres.Certains s'appuie en effet prioritairement sur l'amour d'une personne, d'autre sur la famille, l'amitié, de l'argent, d'un combat politique, idéologique,.....Simple, unique ou pluriels elle se dessine en fonction de la personnalité et du vécu de chacun. Il m'arrive très fréquemment d'analyser les raisons d'être des individus pour mieux comprendre me connaitre, certaines sont complètement excentriques et loufoque. J'observais un individu qui passé la majorité de son temps libre à se balader dans les rues de Monreale avec un nez de clown autour du cou, pour faire rire les enfants.Il n'était pas fou, mais complètement dans son tripe.Cette exemple démontre que la satisfaction personnelle passe dès fois par des choses simples. Je ne pourrai me contenter d'un plaisir aussi simple, mais il semble certain qu'il est plus heureux que moi, mais ne vivra pas forcement le bonheur. « Heureux sont les ignorants ».Mais quelle différence peut-on faire entre l'état d'une personne heureuse et éprouver une sensation de bonheur ?
    Elle est énorme, le bonheur est une fleur rare qui jaillit de temps à autre de la souffrance et la monotonie, c'est un sentiment extraordinaire puissant et orgasmique.Je pense que l'ignorant ne peut connaître ce sentiment, puisqu'il découle d'un mal de vivre existentiel, d'une carence. C'est dans l'amplitude entre le passage d'une platitude, à l'apogée d'une délivrance du mal qui nous accable, que le bonheur prend sa source. A l'opposé, la sensation d'être heureux reste souvent perpétuel et ne connaît très peu de rebondissements, il s'agit d'une existence plate sans souci, sans remise en cause, c'est un peu se mentir à soi même et s'aveugler sur le monde extérieur. Cette sensation est très souvent éprouvée par le mouton et l'autruche.
    D'ailleurs la souffrance n'est t'elle pas la source et le moteur d'inspiration d'une grande partie des artistes, qui de part ce malaise ont subit une forme de maïeutique (accouchement d'esprit), le poussant à se remettre perpétuellement en question. La créativité ne découlerait t'elle pas d'une carence, une majorité des artistes, écrivains, chanteurs de nausée existentielle ? En observant une grande renommée, on peut effectivement le constater. Entre Freud, médecin généraliste qui dans un test d'étude s'accoutuma à la cocaïne et commença à entreprendre la psychanalyse et écrit l'interprétation des rêves ou un nouveau concept est née celui de l'inconscient.Mais également Baudelaire, complètement assommé par les narcotiques qui écrit les fleurs du mal, ouvrage universellement connu .On peut en dire de même avec Rimbaud, Nietzsche,....Pourtant malgré ce malaise, ce sont ceux qui arrive le plus à nous faire vibrer d'émotions et rêver.....
    Faut'il savoir souffrir pour être artiste ? Je pense que la souffrance est nécessaire car elle permet une remise en question de soi même et ouvre les yeux sur une autre réalité .Elle permet également d'exalter certaine sensation qui nous semblaient étrangère auparavant. Un bel ouvrage décrit très bien ce phénomène celui de l'allégorie de la caverne de Platon. C'est l'histoire de cinq enfants, prisonniers depuis l'enfance résidant au fond d'une grotte. Ligotés et assis face à une parois sombre et lugubre, ils contemplent indéfiniment l'ombre de la réalité projeté sur un mur de part un maigre faisceau lumineux s'immiscant dans l'antre.Leur quotidien est animé par un jeu d'ombre et de lumière, seul réalité apparente. Quand un jour un soldat découvrit cette grotte, choqué par cette rencontre un seul accepta d'être délié, les autres ne voulant pas quitter le seul monde qu'ils connaisaient.Mais soudain l'homme déliée ,aveuglé et brûlé par la lumière du jour , poussa un gémissement de douleur, et se réfugia au fond de la caverne avec ses acolytes.Il préféra rester dans son microcosme suite à l'expérience douloureuse qu'il vint de vivre.Il en va de même avec la réalité , beaucoup de personnes s'enferment d'en un cocon protecteur réducteur , et refuse de se confronter à la vérité car elle fait mal .Tous le monde ne sait pas forcement la gérer.Rare sont ceux qui la voie en trois dimensions et possèdent ce troisième œil pour mieux la cerner et la comprendre.Quoi de plus puissant que de cerner ce que d'autres n'arrive pas à percevoir,d'arriver à observer certaines subtilité dans le réel mais cela peut rendre faible est faire perdre la raison.

    La Folie


    La folie est d'ailleurs aussi caractéristique de l'artiste.Non pas fou dans le sens clinique et pathologique du terme, mais dans ce qui le fait sortir de la norme, de la conventionalité. En effet, la masse à souvent un regard extrêmement critique et dévalorisant envers les excentriques.Il trouve son inspiration en étant en marge d'un système.
    Contrairement aux hommes de sciences, l'artiste ne cherche pas une raison rationnel pour comprendre le monde environnant, mais le contemple avec passion, l'observe, s'enivre de ces formes, couleurs et mouvements. Sa représentation de la mort suscitera un tableau coloré et non un schéma rigide.
    Pourquoi l'homme de science cherche t'il à maîtriser l'ensemble des mécanismes de ce monde ? Il va jusqu'à créer des sciences inutiles.La science créer des sciences.Il aimerait tant tendre vers un certain déterminisme , mais sait avec frustration qu'il n'atteindra jamais la vérité existentiel. Je pense qu'à travers cette pseudo maîtrise du réel, il tend à se rassurer d'avoir découvert un de ces mécanismes.Malheureusement plus le savoir et la connaissance s'amplifie , plus le nombre de problématiques se multiplie.Regarder ce sociologue afféré à comprendre la nature des conflits sociaux, le fonctionnement des systèmes symbolique ou bien la place des sciences sociales dans la cité,mais qui ne connaît même pas son propre fonctionnement.Il est bien beau de comprendre le mécanisme d'un groupe social , mais dans quelle utilité ? Mieux se connaître ? Par simple curiosité ? Pour mieux les dominer ? Difficile de trouver une réponse, on en revient toujours au même point celui de l'existence, ce donner un rôle pour exister pour oublier que nous ne maîtrisons pas notre existence.
    Je pense qu'il y a un stade ou il faut arrêter de vouloir tous maîtriser,comprendre ,rationaliser,schématiser,ordonner.Un raisonnement objectif ,cartésien ,dépourvu d'émotions,ne me procurera aucun plaisir.Ou place t'on la magie de l'interprétation du réel ? J'aurais voulu vivre 10000 ans en arrière et pouvoir contempler les étoiles et le monde avec émerveillement et sagesse, laisser courir mon imaginaire.Pouvoir m'imaginer une terre plate survolant une pluie de lumiere.Quoi de plus puissant que de pouvoir contempler le désert et de l'animer par nos songes, et générait à partir de cette étendue de poussières aride sans limite, un monde mirifique emplit de magie et de vie.Notre très chère St Exuperry s'y est donné de cœur joie. Maintenant, je n'arrive plus à rêver, car tous à été rationnalisé.Or la place du rêve dans une existence est vital, on passe en effet un tiers de notre vie à sommeiller et à être plongé dans nos songes les plus profonds. . Le rêve est une veille existentielle, un refouloir de nos frustrations, désirs et phantasmes. C'est je pense un des moteurs de notre imaginaire et dans un sens un garde fou contre la réalité.Meme si l'action s'oppose au rêve, il n'en fait pas d'un rêve un objet complètement inactif. En effet, notre corps semble être inerte mais l'action se fait de part la pensée. Il me semble que le rêve est une charnière entre la vie et la mort.
    L'imaginaire possède une source inépuisable et est capable de donner la vie à un concept inexistant ou redessiner les courbes d'un passé oublié. « Les sels essentiels des animaux se peuvent préparer et conserver de telle façon qu'un homme ingénieux puisse posséder toute une arche de noyée dans son cabinet et faire surgir, à son gré, la belle forme d'un animal à partir de ces cendres ; et par telle méthode, appliquée aux sels essentiels de l'humaine poussière, un philosophe peut, susciter la forme d'un de ses ancêtres défunts à partir de la poussière en quoi son corps a été incinéré »
    Seul encore certains concepts insaisissable m'émerveille encore heureusement, ils resterons éternellement puissants .Bien sure, j'essaye de comprendre certains phénomènes mais ce sont des sujets qui me blesse, me touche directement, ou font rêvé, je pense avoir abordé jusqu'alors des sujets concernant l'ensemble des hommes.

    L'éducation

     

      Regardé combien de filières, notamment à la faculté, sont sans issue ! Il est exacerbant de constater également la masse de cours inutiles enseignés.Meme les professeurs n'ont plus leur place dans ce système, la loi Fillon en est sont reflet Mais quels sont les enjeux d'un enseignement aussi décalé et bafoué? Il est très simple d'y répondre, en effet il ne s'agit plus que d'une sélection mise en place pour minimiser le nombre de diplômés .C'est la conjoncture économique déplorable qui créer cet élitisme. Le marché de l'emploi est actuellement saturé, car le marché de l'offre et de la demande est en pleine phase de déséquilibre. Les jeunes sont confrontés alors à une succession de paradoxe. D'un coté on leur demande une expérience professionnelle et de l'autre d'avoir un diplôme sans être surdiplômé. Mais comment voulez vous avoir de l'expérience si vous postulez pour votre première emploi dans le domaine ou vous avez été formé ?Faut'il s'arracher un bac plus cinq alors qu'un bac plus deux est plus demandé ?J'aimerai vous posez un petit probleme.Pouvez vous m'écrire une lettre de refus de candidature ,sans utiliser le terme refuser , et sans aucune négations ?Voici mot pour mot ce qu'un responsable de département des ressources humaines m'a écrit suite à l'envoi d'un CV pour un poste de conseiller commercial. Je les envoyé suite à l'obtention de mon BTS force de vente .... « Monsieur ... Vous avez bien voulu vous intéresser à notre annonce pour un poste de conseiller commercial. Il est trop de différences avec les critères définis, certes dans le contexte spécifique de notre organisme, pour qu'un entretien vous en apporte autre chose que la confirmation. Si à l'avenir, l'une de nos offres était de nature à mieux vous convenir, nous serions heureux de nouer un contact plus approfondi.... » Alors que ma formation était de paire avec le poste pourvu...Observer bien la manière dont cette phrase a été tournée.Ne prête t'elle pas à confusion ? Quelle lourdeur dans l'expression ! Si vous lisez la deuxième phrase, la complexité de l'expression camoufle le refus d'un entretien. C'est normal il en va de paire avec le commercial que d'orner et camoufler les vices cachés ou défaut de part des phrases longues euphorisantes dépourvues de mots négatifs.Celui ci était un véritable virtuose , il faut l'admettre...
    L'entreprise dicte les lois du marché liberaliste. Sa personnalité en devient tyrannique, car elle possède actuellement le plein pouvoir à la fois exécutif, judiciaire et législatif. C'est elle qui domine les reines du marché. Un marché de plus en plus demandeur d'emploi d'un coté et de l'autre une offre toujours plus puissante.La demande est réduit à l'esclavagisme moderne. Entre les entretiens collectifs, les testes d'aptitudes, les concours,... tous les moyens sont déployés pour se débarrasser de ce surplus de demande.Mais ce filtrage est très souvent injuste et complètement décalé. Beaucoup d'individu se voit refusé un poste sous un prétexte complètement exubérant. Tandis que d'autres échappent à ce filtrage en s'appuyant sur le piston d'un proche, et sont très souvent des incapables qui ne s'investissent pas car tous le travail leur à été maché.Ils n'ont alors aucune raison de se battre. Il faudrait pour soigner cette gangrène sociétale qu'une nouvelle révolte éclate, un soulèvement de la jeunesse. Je pense qu'il arrivera un stade ou tous le monde se sentira concerné , dès lors que le paroxysme sera atteint, la tension devra être alors à son comble et ne pourra plus se contenancer .
    Oh rage oh désespoir qu'ai je donc fait pour subir cette infamie ! Pour l'instant le moment n'est pas encore d'actualité, on subit sans agir. La masse semble être inerte mais je garde espoir, ce volcan éteint peut se réveiller à tous moment.
    Mais certains se sont déjà insurgé contre ce système, on la désigne sous le nom rabaissant de délinquances, cette classe désigné comme dangereuse, incomprise et négligé.Un mouvement de jeunes soit disant dépourvu d'avenir et d'initiatives, dérivant vers la violence, la bestialité et la corruption.Cette délinquance tant traquée et utilisée comme prétexte pour renforcer la sécurité, argument phare de l'extrême droite.Tous ces jeunes révoltés, affligés par un système oppressant et fondamentalement injuste malgré les apparences. Comme disait Bergson « le reflet d'un bâton dans l'eau le courbe, mais la raison le redresse ». En effet, il ne faut pas voir et interpréter ce que les médias peuvent déblatérer sur cette délinquance, entre les viols, les violences à mains armées, les projectiles à l'encontre des services de l'ordre, .... Mais essayer de comprendre la raison de cette attitude face à ce système. Pourquoi ces jeunes adoptent t'ils une attitude complètement désinvolte et lymphatique à l'égard de notre société ? Tout simplement par ce qu'ils n'ont aucune place pour se sentir existés et valorisés dans ce bas monde. Comment voulez vous vous épanouir alors que votre environnement respire la mort, les HLM respirent un environnement carcérale et lugubre ? Vous ajoutez de surcroît un conjoncture économique déplorable et une perte de ces racines familiales après la seconde guerre mondiale (puisqu'il s'agit pour une grande majorité d'immigrés) ; vous formez ce que l'on nomme la délinquance actuelle. Une jeunesse d'orphelins, livrée très tôt à eux même, mal accepté et délaissée.Elle cherche alors venement à s'exprimer au travers de la création artistique. En effet, l'art de rue, que ce soit les tags, breaks, la musique : le Rap Français, converge vers cette soif d'exister et de se faire connaître.Mais il tend à devenir de plus en plus arrogant puisqu'il manque un récepteur actif Ceci dénote un besoin de revendication ethnique et identitaire, comme le font la majorité des communautés.C'est ce malaise sociale qui génère cette puissance créative.Je préfère de loin cette attitude révolté , que le comportement lymphatique et aphasique de certains jeunes embourgeoisé, complètement déconnecté du monde extérieur,des larves sans personnalités....
    J'ai été fasciné par l'ouvrage du sociologue francois Dubet , qui dans un bloc comprenant plus de quatre cents pages décrit les causes profondes de la violence quotidienne générait par cette délinquance. Alors qu'il suffirait d'une explication tenant dans une page au maximum pour comprendre les causes de ce phénomène social. Heureusement qu'il avait l'appui d'un nombre considérable de références...il n'aurait jamais pu créer par lui-même un ouvrage aussi conséquent.

    Un point m'inquiète fortement, il s'agit du déclin de l'enseignement, plus précisément de l'éducation nationale. Elle n'a plus aucun sens, sauf celui d'un élitisme ravageur et découragent. "L'égalité entre les hommes est une règle qui ne compte que des exceptions."Ernest Jaubert

     

     

    Esprit communautaire


    L'esprit communautaire est également un des piliers de notre existence. C'est un cocon protecteur eyant ces règles, sa culture, son fonctionnement propre. Elle permet à bon nombre d'individus de s'épanouir. L'homme solitaire est faible, il a besoin de se rattacher au nombre pour être rassuré. Le besoin de se mettre en couple dénote cette idée , il est en effet beaucoup plus facile d'assumer l'existence si elle est partagé entre deux êtres humains qui s'aiment, se complète et s'harmonise mutuellement.Le besoin d'être en bande ou en clan décrit bien se phénomène dans les banlieue.Les sectes , rattachement à un dogme religieux sécurise les hommes.Mais il existe des exceptions à toute ces generalités.Moi, je n'y adhère pas , je suis un homme solitaire , j'ai une vie à la Bohémienne, je n'adhère complètement à aucun mouvement de pensées ou communautés , je vis l'instant présent , contemple l'homme dans sa splendeur.La norme moripile , mais je l'accepte sans y adhérer.
    Mais que représente la norme ? Quelle est cette prétention de me sentir en dehors de la norme ? La norme représente une masse d'individus plongée dans leur microcosme et suivant les tendances du moment s'identifiant sous la forme du conformisme, mais étant dépourvu de personnalité et d'esprit critique. Pourquoi se tenir la main quant on est en couple ? Pourquoi suivons nous des idoles, et musiques à la mode ? Pourquoi ne laisse t'on pas sa propre imagination s'exprimer librement sans avoir cette peur d'être jugé ou critiqué par le regard d'autrui ? Le pouvoir de la masse sur l'individu ne doit pas être une barrière pour assouvir ses désirs.Il faut exprimer ce que notre identité unique nous a laissé.Nous sommes si différent et pourtant nous tendons à être de plus en plus semblable actuellement. L'originalité est rare, elle s'exprime uniquement à travers un excentrisme contestataire mais pas véritablement naturel. Si demain je me ballade dans la rue avec une chaussure sur la tête, ce n'est pas par provocation de la masse mais car je me sentirai bien dans ma peau....
    La mode découle de ce besoin d'appartenance à un mouvement de pensée identitaire, à une communauté, à une idole ou bien simplement ce qui est proposé comme de la mode par les médias. Mais quel est l'intérêt de s'associer à un mouvement ou de cultiver son apparence? Actuellement, l'homme occidental attache de plus en plus d'importance à la forme, c'est la culture du corps, du paraître. L'homme prend en effet son corps comme un objet qu'il faut embellir pour attirer l'attention ,séduire, se démarquer socialement , idéologiquement .Il est devenu pour certains quasiment vital d'habiller un corps dépourvu très souvent de contenu. La superficialité représente tout un art, celui de camoufler une carence d'esprit en dépit du paraître. Ce phénomène est en pleine expansion, puisqu'en parallèle le fond décline. L'esprit meurt dans un corps qui se met en valeur. Attention, il ne faut pas généralisé, l'habit met en valeur, et permet de tamiser des défauts frustrant et génant.L'habit est également un objet artistique, c'est une création unique. Mais dés lors qu'il se multiplie à l'identique et prend la forme d'un symbole identitaire , ou est porté a des fin non pas esthétique mais provocateur ou par souci d'être dans la norme, la tendance , il pert de sa personnalité , de son originalité . Cela devient un objet de consommation massif, fade et sans intérêt qui se détache complètement de la personnalité des individus. En effet, si chaque personnes s'habillait de façon a laisser s'exprimer sa personnalité, ses goûts,sans autre influence que celui de son imagination , l'habit aurait réellement un sens ,une valeur unique, mais il a tendance à s'effacer dans une masse de stéréotypes standards univoque.
    Ce sentir libre du regard des autres est un sentiment puissant permettant l'originalité mais il est s'y difficile d'y accéder car il demande bon nombre de concessions.
    Nous avons aborder vaguement plusieurs sujets entre l'existentialisme, la naissance de notre univers , la mort concrète , la mort de la culture,le déclin de la jeunesse, le destin , la norme ,l'art, le suicide....mais quel est le lien directe par rapport au sujet abordé : la mort ? Tous ces sujets concernent l'homme et peuvent l'amenuir ou le tuer. Si l'homme tend en effet vers ce que le capitalisme souhaiterait qu'il soit, si l'art et la culture déclinent, si l'homme ne se remet plus en question et se contente d'une existence plate et sans mouvement, si l'humanité se réduit à une masse uniforme. Pourquoi alors perpétuons nous l'existence ? La vie n'a plus de sens s'il s'agit de vivre uniquement pour fonder une famille standard et un foyer.Elle à un sens quant l'homme lui en donne un.
    Mais quel serait le remède miracle pour soigner tous ces maux ? Il est très difficile de répondre à cette question puisque je suis à la fois acteur, spectateur, et figurant de ce monde. Un observateur de passage, complètement extérieur à notre très chère planète bleue aura beaucoup plus de facilité à y répondre, car je suis actuellement dans une cellule emprisonnée dont je ne peux discerner les parois.J'arrive à percevoir certains disfonctionnements mais je reste un être limité. Cependant, s'il y avait une plus grande cohésion dans cette grande famille humaine que nous formons, certains débats seraient plus facile à aborder.Je bannis l'ultra communautarisme réducteur et générateur de violence , je suis pour l'épanouissement de chaqu'un au travers de son identité et non d'un emblème historique, charismatique, religieux, médiatique ,.... A l'opposé, la cohérence sociale passe par la culture du débat.En effet, Le dialogue illumine les êtres vivants, et crée une ouverture sur autrui, brisant ainsi les idées préconçues de la doxa.Elle permet ainsi d'apaiser les tension canalisées et débordantes au sein de notre être, qui risquerait d'exploser si aucune maïeutique n'est pratiquée. La jeunesse actuellement est en pleine ébullition,
    Les juifs par exemple sont une communauté égoïste , en marge de la société , s'implantant dans les domaines d'influence tel que le commerce, la politique, et les médias pour mieux régner et dominer.C'est une grande secte , qui a réussit a se faire respecter. Il est beaucoup plus facile de traiter un arabe de bounioul, que de traiter un juif de youpin.Pourquoi ? Parce beaucoup de leurs confrères sont hauts placés. Ils vivent en autarcie de notre systéme.Beaucoup de paradoxe découlent de leur attitude .En effet, ils prônent la non violence, méprise le racisme et la discrimination, sont pour le mélange des cultures et le brassage ethnique en France. Pourtant, l'état d'Israël tend à s'opposer à ces principes .De plus, il est extrêmement difficile de rentrer dans leur communauté ou pire encore se convertir au judaïsme des lors qu'il n'y a pas un lien de sens sang existant.Ce qui est comme par hasard beaucoup plus facile dans les autres religions. Avez-vous déjà vu un juif vous incitant à rentrer dans sa communauté ? Je vous met au défit.....Certains sont de grands hypocrites très intelligents et manipulateurs, qui profitent d'un système français souple et tolérant pour le rendre encore plus malléable. Une de leur plus grande erreur et de se replier dans leur communauté.Elle se prive alors d'un dialogue, si nécessaire pourtant pour calmer la monté d'un antisémitisme de plus en plus omniprésent et violent .....Attention je ne suis pas antisémite mais je critique l'attitude fermé et égoïste de certains éléments de la communauté juive.D'ailleurs je me suis demandé pourquoi on t'ils étaient si mal traité depuis plusieurs décennies.Plusieurs facteurs permettent d'y répondre. Tous d'abord, celui de la jalousie générait par la richesse de cette communauté. Mais comment expliquer cette richesse cumulée ? Il est simple d'y répondre, en effet les juifs n'ont jamais diabolisés l'argent comme l'on fait les chrétiens ou les musulmans. C'est une nuance de valeurs qui à créer cette violence .Les juifs ont su devellopés très tôt l'art du commerce et de la négociation, tandis que les chrétiens restaient cristallisés dans cette pseudo charité.Ce qui n'a pourtant pas empêché au clergé de s'enrichir et de vivre sur cette charité chrétienne....Les juifs ont pu alors se forger une très bonne assise , s'implantant dans des postes haut placés en tant que banquiers , avocats ,....Leur situation financière leur a également permis de s'adonner pleinement à l'art et la culture.Regarder le nombre considérable d'intellectuels et de scientifiques renommés !
    Ensuite, il faut prendre compte des pratiques religieuses quasi fanatiques en engendrant aux yeux d'autrui une crainte et une stupeur face à certaines de leur pratique. Quand vous observez des enfants n'eyant même pas l'age de raison, qui sont déjà obligé de porter un accoutrement religieux vous commencez à remettre en cause leur pratique.La loi malheureusement donne le plein pouvoir au parent en ce qui concerne l'éducation religieuse. Je m'insurge complètement contre ce principe, en effet ces enfants n'ont pas le choix de suivre ou non ces pratiques puisqu'on les lobotomisent avant même qu'il ait un esprit critique .Ils naissent et meurent dedans.
    Enfin, l'esprit fermé et conservateur de cette communauté, la prive de tous dialogue et laisse une masse de préjugés se former.
    Vous mélangez ces trois facteurs entre une commaunté eyant l'image d'un cercle fermé, conservateur, fanatique et monopolisant de grande richesse, vous générez un rejet violement explosif, ce que l'on nomme l'antisémitisme.Il serait pourtant tellement simple d'y remédier, en laissant place à une ouverture sociale et un dialogue rendant plus lumineux certains aspects obscure et trop conservateur de cette communauté.
    Un sujet me chagrine lorsque je pense à certaines personnes passant leur existence à s'accaparer toujours plus de capitaux, en dénigrant complètement les hommes et la nature environnante .Ce sont de véritables prédateurs, eyant ce sentiment de culminer la race humaine.....

    L'amour


    Quelle place laisse t'on réellement à l'amour dans ce monde ? Pourquoi vaut t'il mieux aimer pour exister ?
    L'amour fait graviter notre existence , c'est un puit d'émotions , un soleil autour duquel se forme notre système existentiel, une fusion de deux atomes constamment en dualité .Certes à double tranchant , mais si vital. C'est un sentiment fondamentalement instinctif mélangant reproduction, affectif, partage, sécurité, conquête et accomplissement.En effet, le fondement de l'amour est la création d'une famille, de clone, d'un mélange entre la reproduction d'une partie de soi même mélangé avec celui ou celles qui acceptera de le fusionner avec son soi.Cette fusion n'est pas forcement physique , elle peut être le fruit d'une passion commune.Le célèbre couple volcanologue , les Krafts , se sont liés d'une passion commune qui à fait d'eux de véritable inséparables, pourtant iln'ont jamais eu de progéniture.C'est un choix très difficile, il faut une corrélation ou complémentarité pour que deux êtres acceptent de générer un fruit double et non unique. L'homme est pourtant foncièrement égoïste et égocentrique, pourtant il se voit obligé lorsqu'il décide de faire un enfant de s'associer avec un être différent. L'amour est dans ce sens un paradoxe allant à l'encontre de sa nature égoïste. Mais l'amour est tous de même égoïste en soi, c'est le reflet d'une personne qui nous renvoie ou revalorise, sécurise notre égaux.C'est également un objet qui semble nous appartenir. Se tenir la main, s'embraser en publique marque cette volonté de s'appartenir l'un l'autre.Ce qui raisonné serait stupide, en effet une personne n'est pas un objet elle ne nous appartient pas .L'amour a sa raison, que la raison ne connaît pas.
    Mais quels sont les facteurs déterminant cette attraction ? Ils sont multiples, l'attirance physique et tous aussi importante que le psychique. Un amour ne peut être complet lorcque l'alchimie physique n'est pas comblé. L'équilibre sexuel qui en découle en partie ne sera pas optimalisé.Un déséquilibre en découlera qui faudra soigné en revalorisant l'affectif, l'intellect, ou d'autre point moteur du couple. Un amour passif peut-il perdurer sans aucune relation sexuelle ? Je pense que l'homme en est capable malgré de grosse carences, il peut se satisfaire d'une complicité très forte mélange de tendresse, d'affectif et autres...Il tend alors vers un amour platonique, proche de l'amitié.L'amour en effet ne puise pas seulement sa force dans un moteur unique mais se nourrit d'une masse d'énergie provenant de divers origines. En général, l'amour parfait n'existe pas, et c'est de ces imperfection que la dualité prend naissance, moteur du couple.Un amour sans remise en question est un amour sans mouvement qui, s'il existait ne durerait qu'une fraction de seconde.Mais quelle place à la beauté dans l'amour ? Tous d'abord je donnerai une définition de la beauté. La beauté est un eugénisme, elle prend sens dans le nombre et non l'unité. En effet, un individu solitaire placé depuis son enfance sur une île déserte, ne pourra avoir de représentation de la beauté. Elle prend naissance des lors qu'il y a un émetteur et un récepteur, c'est-à-dire un regard mutuel pour admirer et juger. Je pense qu'il y a deux choses définissant l'attirance envers un être humain doté d'une beauté physique.
    La première est un eugénisme c'est-à-dire lié à nos gènes, ce sont nos gènes qui définissent des phénotypes bien spécifiques générant au sein de notre organisme des pulsion sexuelles et un instinct reproducteur .En général cette beauté a une souche universelle, de belle dent, de belle main, un visage symétrique et fin, sans défauts grossiers.
    La deuxième est celle causé par l'attraction de l'objet tant désiré sur autrui, de part non seulement son physique mais son charisme, sa personnalité, son originalité, une qualité (sa gentillesse son sens de l'humour, sa culture) cela peut prendre une infinité de formes...... Le charme par exemple ce placerait dans cette catégorie lié à cette attraction .D'ailleurs, heureusement que le charme a sa place, sinon la reproduction ne serait qu'un privilège des individus dotés d'une beauté eugénique
    .La troisième , est celle de la fierté et de la jouissance généré par son pouvoir de séduction sur l'objet avec lequel on s'est lié.Plutot féminin comme attitude , en effet l'acte de se maquiller, traduit un pouvoir de séduction sur son male dans un désir possesif.On rentre ainsi dans leur jeu de séduction pour mieux les charmer.L'ere romantique traduit un peu se phénomène , c'est-à-dire celui d'un homme se soumettant jusqu'à se rabaisser à tous les caprices de sa dulcinée( invitation au restaurant, dîner aux chandelles,....) , la femme se sent alors revalorisé par cet acte de soumission par rapport au charme qu'elle génère. Dans ces trois catégories il y a toujours ce phénomène d'une part de recherche d'un être dominant, dans le sens ou l'attirance se fait souvent par rapport à un objet qui se démarque relativement aux différents critères que j'ai pu énoncé ci-dessus, d'autre part dans une dualité permanente entre l'acte de se soumettre et de dominer l'autre. D'après mon raisonnement, un male dominant serait un individu à la fois doté de cette beauté eugénique parfaite, sportif de haut niveau, champion dans son domaine, extrêmement cultivé, sensible, artiste dans l'âme,....A ce male, il faudrait associer une femme eyant assez de puissance séductrice pour le dominer de temps en temps pour ne pas se laisser soumettre par l'attraction puissante qu'il génère. Le sadomasochisme, est une dérive extrémiste de cette dualité soumission, domination, c'est un rapport de force qui caractérise de façon violente ce phénomène.
    La beauté devient actuellement un stéréotype au travers des médias. Ils imposent une norme à la beauté, celle d'une beauté malheureusement bien trop eugénique et parfaite. Tous ceci est machiavélique, puisqu'en parallèle on vous propose des produit cosmétique miracles affinant votre corps et le rendant plus esthétique. Le résultat au final est quasi sans conséquences mais il a la propriété de procurer un effet placebo .Beaucoup de femmes se font avoir par cette manipulation médiatique.
    J'observe bien trop de couple ressemblant à ceux de quinquagénaire .Quel gâchis ! Que de se contenter de la présence mutuelle de l'autre pour se sentir existé ! Je l'ai commise , et j'ai été pendant plus de deux ans complètement fermé , replié sur notre couple , seul raison d'etre.Ceci limite l'esprit, et empêche l'épanouissement personnel.Il vaut mieux s'épanouir seul que de faire des concessions allant à l'encontre de sa personnalité. C'est que l'on appelle l'amour fusionnel.Il est beau mais violent, l'arrachement est brutal, un sentiment morbide nous anime et s'accompagne d'un retour très difficile à la réalité. Le sommet de la tour de Babel est atteint pour s'ensuivre avec un plongeon en chute libre qui semble interminable. Heureusement que la raison a pris le dessus......L'amour rend aveugle et peut nous rendre paraplégique....C'est une force qui peut se retourner contre soi, jusqu'à nous faire perdre notre égaux et surtout notre raison d'être, un plongeon vers le couloir de la mort...Mais peu le connaitrons...
    En effet, comme le soulève Amélie Nothomb, « les grands amoureux furent éduqués à l'école de la faim », c'est dans cette souffrance d'un vide existentiel qu'une quête interminable et insatiable de l'amour commence.....Les êtres nés rassasiés ne connaitrons jamais cette angoisse permanente .Mais c'est cette angoisse, cette attente inlassable qui nous rend fondamentalement humain. La puissance créatrice commence à se mettre en ébullition quant l'esprit commence à vagabonder et s'ennuyer.
    Mais l'amour ne se limite pas à une union entre deux êtres qui s'aiment, elle prend naissance dans cette survie existentielle et ne se caractérise également pas ce sentiment puissant de créativité. Cette créativité marque un désir de sentir notre être prendre un sens, au travers de l'art. Les sens s'exaltent pour laisser place à un univers inconnu celui de l'imaginaire.C'est une union entre son être et son imaginaire, qui peut nous éprendre tout une vie et devenir un pilier existentiel...

    L'art en déclin


    Que représente le combat contre la mort ? Ne serais ce pas maîtriser les différentes causes à effets de l'existence, essayer de cerner l'essence de la vie et de ces fruits ? Cela passe par la science, l'histoire, l'ethnologie, et bien d'autres domaines encore.Ce donner un rôle pour assumer la réalité. Mais également cette soif créative sans limite, en exploitant au maximum ce que la nature nous à offert. Je m'émerveille devant certaines créations comme le jeu d'échecs débouchant sur des parties toujours différentes et passionnantes, l'avancée fulgurante de la science, des découvertes scientifiques. Il en est une qui m'a toujours fasciné c'est celui du nombre complexe appelé avec lyrisme le nombre imaginaire noté i, base de tous les outils de télécommunications. Son nombre résout une équation absurde telle que x^2= -1 ce qui est en effet impossible avec un nombre réel !!! Mais également le nombre pie permettant notamment de calculer l'aire d'un cercle. On arrive toujours à trouver des chiffres clés, des équations, formules pour simplifier, traduire et comprendre le réel. Le réel est t'il relatif, rationalisable et se concorde t'il dans son essence ou bien est ce l'homme qui le rend relatif et cohérant? Le temps par exemple n'existe-t-il pas uniquement parcque l'homme lui a donné un sens ? Il se base en effet sur notre système solaire mais aurait pu très bien avoir un autre referenciel ou n'avoir jamais existé. Il est difficile de répondre à cette question puisque l'homme actuel ne peut s'abstraite complètement du temps qui passe. Il en en est devenu foncièrement dépendant. C'est fascinant d'observer comme l'homme s'attache à l'objet de sa création , et crée des nécessités quasiment vitales dont on peut difficilement s'en séparer.Ces besoins sont'ils si vitaux ?L'organisation humaine serait t'elle perdue sans notion du temps qui passe ?Il est difficile de s'imaginer en effet un monde dont les fonctionnements organisationnels seraient diametralements opposés à celui que nous connaissons.De même, il est encore plus ardu d'admettre l'existence d'un univers éyant des lois différentes du notre.Un univers ou rien ne serait limité par le temps ou tous les êtres auraient une existence infini. Ceci dénote sa puissance créatrice.
    L'art, la science et la philosophie sont étroitement liés, ce sont des domaines indissociables. Je contemplais un soir les créations de Hanne Darboven, artiste contemporaine qui lie dans ces œuvres d'arts la géométrie et les suites numériques avec son imaginaire. Une œuvre d'art intelligible est souvent fondée sur des lois mathématiques et physiques.L'architecture se base d'ailleurs sur des principes mathématiques et physiques, et se mélange avec l'art des formes et des couleurs.
    Tout artiste ou scientifique se doit d'allier ces différents regards en mélangant rationnel et imaginaire, expérience et créativité.Il serait réducteur d'avoir un regard univoque et unique, car une pensée unidirectionnelle est figée dans une certaine forme de réalité. Imaginez vous le regard d'un homme dans un train avançant à vitesse constante dont les fenêtres ont été obscurcies, à ces yeux le train est immobile pourtant il est en plein mouvement. Ce train lui aussi semble se déplacer dans une direction unique pourtant son déplacement relativement à notre système solaire décrit un trajet sinueux.La réalité se modifie des lors qu'un changement de referenciel s'opere.D'ou la nécessité de pouvoir jongler avec ces différents référentiel pour avoir une vision plus juste du réel.Un regard en trois dimension sur le monde , capable de réveiller certains aspects de la réalité encore méconnue jusqu'à ce jour.Un aventurier du réel et de son imaginaire.

    Mon coeur éparpillé


    Souvent mon esprit vagabonde entre une multitude de sphère, je délecte cette pluralité et cette dualité social cela représente une aventure sociale dont j'en suis devenu viscéralement dépendant. Cette soif de rencontre , de découverte n'ait pas anodine .En effet,Je suis devenu très tôt orphelin, plongé dans une existence incertaine et cruellement réaliste.Je me suis alors retourner sur les autres et sur le monde extérieur pour combler ce vide affectif au travers de cette grande famille humaine et cueillir certaines fleurs dans ce jardin d'éden même si elles sont pour certaines fanées.En effet, dans ma tendre enfance j'ai vécu l'opulence matérielle et affective d'un cocon protecteur puissant , connaissant ainsi la jouissance d'un environnement positif et chaleureux . Mon père se donnait de cœur joie à me traiter de coq en patte, pour décrire la vie de pacha que je menais avant le décès de ma très chère et tendre grande mère. Ce décès fut pour moi la perte d'une mère, véritable puit de tendresse et d'affection. C'était le portrait d'une femme méridionale à fort caractère, doté d'un instinct maternel et protecteur gigantesque.A la suavité de son visage se mêlait une gentillesse et une dévotion sans limite à mon égard. C'était un ange protecteur qui a fait de moi un damné une fois qu'elle a pris son envol. La chute libre vers la réalité fut alors brutale et violente....mais génératrice de créativité.
    A cela vous rajoutez le fruit d'une union littéralement opposé entre un père député d'extrême droite ,charismatique , militant jusqu'à la mort et une mère fondamentalement socialiste mais paradoxalement égocentrique et matérialiste, ayant de surcroît des cousines camerounaises . Vous générez un berceau baignant alors à la fois dans un contraste idéologique et de caractère, mais également dans une solitude déconcertante où je n'avais plus aucune place pour trouver de repère dans ce cocon défunt et recomposé puisque mes parents se sont séparés très tôt et on recomposait chacun une nouvelle famille. Tous ces facteurs m'ont alors ouvert les yeux sur divers facettes de la réalité. Au niveau idéologique,je n'ai pas pris parti de me positionner parmi ces extrêmes , mais j'ai appris à travailler mon esprit critique .Je ne parlerais pas de juste milieu , ni d'équilibre ou de symbiose mais de bon sens et d'observations. Il y a du juste dans tous propos même extrémiste , l'essentielle est de dissocier certains propos complètement exubérant avec d'autres nettement plus véridique .Au niveau affectif , j'ai préféré me couper définitivement de ces famille recomposées où je n'avais pas ma place plutôt que d'être tiraillé entre un sentiment de solitude et de dépendance incertaine. Livré à moi-même relativement tôt, j'ai du m'adapter à un monde complexe bourré de paradoxe, d'injustice et intransigeant.
    A la manière d'un caméléon je me suis immiscé dans un grand nombre de milieux sociaux culturelles , en favorisant la culture du paraître pour mieux passer inaperçu et m'harmoniser au maximum avec mon envrironnement.Je ne suis pas un de ces rebelles figés que la vie à rendu aigri ou obsessionnels , affichant des idées rigides et univoques , ou le corps et l'esprit sont devenu des outils pour afficher et démarquer un état d'esprit , un dogme ou une idéologie.....C'est un jeu auquel j'ai pris goût . Au delà d'être


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  • INTODUCTION


    Je me suis intéressé à la mort et à son concept car elle reste omniprésente dans toute existence et représente une des deux étapes caractéristiques du cycle vital. Je voulais également me pencher sur ce que me suscite la mort et laisser libre cours à mon imagination. Rationnelle ou mystique, concrète ou abstraite nombreuses sont les interprétations, représentations, et pensées qui en découlent.J'ai essayé d'allier plusieurs regards sur ce sujet alliant à la fois celui du scientifique, du sociologue, du philosophe et de l'historien.De nombreux thèmes sont abordés et organisés autour d'une mosaïque anarchique et intuitive.Je n'ai pas cherché à plaire en usant d'un style rhétorique ou lyrique, mais décrire d'une manière triviale et naturelle ce qui m'aspire et m'inspire, me blesse et m'anime..On fera un certain nombre descales entre le déclin des valeurs artistiques, sociales et éducatives en passant par les rêves, la folie, jusqu'à parler de l'organisation cosmique de notre univers.Ce n'est pas au travers de la prose qu'un concept prend de l'ampleur mais en le décrivant crûment et simplement, en effet je dis cela par provocation par rapport à notre politique actuelle qui repose sur de grands discours élogieux dépourvus de moyens concrets. Nous commencerons tous d'abord par décrire d'une facon triviale la mort phyique qui reste encore gorgée de mystères, d'incohèrence et de tabous.
    Elle fait et fut l'objet de nombreux rites et traditions dans beaucoup de civilisation, culture.C'est ce que le sociologue nommerait la dynamique des imaginaires. Certains l'abhorrent, la fuient et l'enfouient au travers d'ornements superficiels, d'autre l'assument et vivent avec gaieté et créativité ce fatalisme, enfin certains l'utilisent pour soulager une existence lacérée et sans issue. 

    LA MORT PHYSIQUE


    La mort est en effet gorgée de significations sociales .Entre les personnifications divines, les légendes gravitants autour, elle tient une place prépondérante dans toute les cultures. Mais peut-on réellement la visionner ? C'est à dire se représenter exactement à l'identique l'état dans lequel on est lorsqu'on est mort au sens rationnel et scientifique du terme, sans réincarnation ni paradis. Vivre la mort reste un paradoxe car elle est définitive et sans réveille possible.Le Coma s'en rapproche, dans le sens ou il s'agit d'une perte de conscience momentanée.Mais, durant cette période le vide existentielle ne semble pas être complet puisqu'il est ponctué de flash, de rêve éphemère ou le cerveau endormi les contemplent sans réelle interprétation. Nombreux sont ceux qui plongés dans cette état on vu le couloir de la mort s'offrir à eux et semble s'être battu pour obtenir un nouveau repentir. Selon les témoignages, une obscure clarté semblait émanait au fond d'un long couloir froid et morbide, le couloir de la mort, vers laquelle les individus se dirigeaient inexorablement dans une marche lente et interminable. Peut on s'imaginer une mort définitive, un néant existentiel infini ? Ou l'on a plus conscience que l'on existe, un monde dépourvu d'émotions dans lequel il n'y aurait plus de joie et de tristesse, sans haine, sans amour ni passion, dépourvu de mouvement, de temps, d'espaces et de matières.Une mort qui mettrait un terme à notre imaginaire et notre force créatrice.Impensable......
    Il est en effet impossible de se l'imaginer, notre conscience semble être bloqué par ce néant infini. Ce sont à mon avis ces deux termes néant et infini qui nous empêchent de pouvoir réellement se l'imaginer.En effet, comment décrire la mort alors que le vide absolu et l'infini s'oppose littéralement au loi de l'existence. L'homme ne peut s'imaginer l'infini car il vit dans un monde ou tout autour de lui est limité par le temps et la matière.De plus les capacités intellectuelles humaines sont infiniment réduite pour comprendre et cerner ces termes qui pourtant sont les caractéristiques principales de l'univers.Il est étourdissant en effet de s'imaginer que notre univers n'est jamais existé, un néant complet ou la vie, la matière et le vide n'ont jamais eu de raison d'être. La réciproque est encore plus difficile à cerner et à comprendre car elle pose beaucoup plus de problématique que la précédente en effet pouvez vous , vous imaginer un univers qui a toujours existé ne connaissant ni de naissance ni de fin , un espace infini sans limite. Cette idée pose un gros dilemme car un objet ni limité par le temps et par l'espace nous est inconcevable. Pascal souleva dans son ouvrage « les pensées » que l'homme relativement à l'univers représenté un point perdu entre l'infiniment petit et l'infiniment grand.Savez vous également que notre univers n'est composé que de vide et qu'il pourrait tenir dans un stade de foot s'il était dépourvu du vide qui le compose. Ces concepts sont extraordinaires et procurent des sueurs froides.
    Il me semble que beaucoup d'hommes devraient de tant en tant ce détacher avec sagesse de leur microcosme et dirigeaient leur attention vers ces questions existentielles pour relativiser leur quotidien, et également éviter les excès de pouvoir dominés par l'instinct animal de certains hommes assoiffés d' un pouvoir illusoire égoïste favorisant l'exclusion,la misère,les frustrations, et la haine.Il ne faut pas complètement oublier cette épée de damoclèce qui peut nous octroyer la vie à tout moment et garder en tête que nous sommes des êtres fondamentalement vulnérables.Profitons de l'essence de la vie mais ne cherchons pas de profits perpetuels.En effet dans un siècle la plupart des cinq milliards d'hommes allant du démunis au chef d'état ,qui résident sur cette terre actuellement, ne seront que poussières et néants , la mort étant la justice absolu.N'essayons pas de l'enfouir à travers des ornements éphémères et superficiels. En effet, un homme s'étant enrichit toute sa vie pour orner son égaux aura d'autant plus de mal à assumer la mort relativement à l'homme de sagesse, qui au moins reposera conscience tranquille.
    Pour comprendre et cerner la mort, je cherche à tendre vers la racine du phénomène sans cerner ni comprendre complètement le déroulement de sa source.La mort en effet ne peut être vécu , elle se subit on la décrit facilement comme la fin de l'existence mais on ne peut ni la comprendre ni l'observer .Il faudrait s'interroger sur les différentes étapes menant à la mort, ce long couloir menant vers le vide.Je ne parle pas de la mort instantanée d'un accident violent de la route mais celui du malade, du kamikaze ou plus partculièrement du suicidaire qui dans sa chute libre voit sa vie défiler devant lui.Outre cette vision de la mort focalisée sur la mort physique, il existe un nombre étonnant de moyens pour la contourner notamment celui de la religion.

    LE ROLE DE LA RELIGION


    Je ne crois pas au jugement dernier mais il est intéressant d'en faire une métaphore. En effet? il me semble que ce jugement n'est pas établit par une tierce personne ou par la puissance créatrice de l'univers mais tout simplement par nous même, de soi à soi dans cette chute. L'étape finale avant la mort marque à mon avis une phase d'autocritique au moment où l'on voit toute sa vie se redessiner comme une autobiographie.Ainsi tous les choix décisives et actions que l'on a pu mener rejaissent de notre conscience.Bien entendu, l'on rentre dans une phase nostalgique de ce que l'on va laisser derrière soi de nos proches ,nos enfants,...mais mourir est fondamentalement égoiste.En effet, l'homme a beau être entouré de son cercle intimiste , il meurt seul,il ne pense plus au autre.Confronté dans sa solitude face à soi même et à la réalité, il remet en question son existence.A ce moment, justice se fait mais ne dure à mon avis qu'une fraction de seconde.Mais rassurez vous il ne faut avoir peur de la mort que de part la souffrance physique et psychique qu'elle peut inculquer, sinon une fois advenue vous n'aurait plus aucune conscience, votre esprit ne fonctionnera plus pour l'éternité et votre corps recomposera les éléments de notre univers.De plus? il faut garder à l'esprit que des milliards de milliards d'individus y sont déjà passés.
    D'ailleurs la mort me hante si fort que j'ai de la vie un appétit débordant.Mon hymne est celui d'un hymne funèbre qui est celui de la joie. Une joie si éphémère qu'il faut en profiter de manière gargantuesque.La vie me fait vibrer, elle ne serait que plate et insipide s'il n'y avait pas cette masse de frustrations et de désillusions.
    La vie éternelle, je pense est un phantasme collectif égoïste mais comme le jugement dernier cela reste une très belle métaphore pour décrire d'une part l'éternité des éléments composant notre corps c'est-à-dire nos atomes « rien ne se perd rien ne se créer tous se transforme », ces atomes pouvant faire partit intégrantes d'autres organismes de vie, mais également au travers de notre descendance perpétuant une parti de son soi au génération suivante.
    Le paradis est celui d'une libération totale du vivant.
    Une question m'a traversé l'esprit lorsque je me suis penché sur la généalogie de la religion.Et je me suis demandé quel est role fondamentale.J'en suis arrivé à la conclusion qu'elle a été crée en partie pour permettre d'apaiser l'esprit de l'humanité qu'en il devient trop existentiel c'est-à-dire réaliste. Il est en effet bien plus rassurant et facile d'adhérer au principe du paradis, que celui du néant, d'une mort définitive.De plus l'égaux de l'homme est bien mieux mis en avant à travers la religion qu'à travers la science bien trop brutale.
    . Cependant il est intéressant de constater le nombre de rapprochements entre les dires des ouvrages religieux et les dires des scientifiques, très souvent illustrés sous forme de métaphores, la bible décrit des phénomènes existants. On peut prendre comme exemple la vie éternel qui peut s'assimiler à la loi de Lavoisier, le paradis à l'homme de sagesse reposant en paix qui a su accepter la mort ,....Mais la religion ne cherche qu'à orner malheureusement la mort pour la rendre moins angoissante. On a moins peur de l'enfer que de la mort définitive.En effet, notre conscience tend à adhérer dans le fond à ce qu'il y a de plus réaliste.
    Il est intéressant d'observer un paradoxe frappant lors de l'enterrement d'un proche.En effet, pourquoi pleure t'on le décès d'un proche si l'on croit fermement au paradis.Ces larmes versées, ne sont pas, à mon avis, celles d'une personne pleurant le temps d'attente pour rejoindre son proche au paradis.Mais celles d'une personne qui confronté à la dure réalité, doute fort de la revoir un jour.
    Néanmoins la religion, outre son aspect mystique reste un garde fou contre la bestialité .En effet, la religion impose à l'homme des règles de vie communautaire essentielles pour le bon fonctionnement de l'humanité. Quel aurait été le devenir des hommes pieux s'ils n'avaient pas eu la foi et s'ils étaient fondamentalement rationnels ? Peut être se seraient-t-ils comportés avec civisme, mais il se peut que, n'existant pas de jugements derniers, ils auraient tendus vers la corruption et le vice.L'islam dépourvu de religion, serait comme une vie sans esprit.
    C'est cette morale religieuse qui guide l'homme logiquement vers sa perenité.Mais que représente la notion de bien et de mal ? D'où prend t'elle naissance ?
    La notion de mal semble concerner tous ce qui potentiellement peut nuire l'homme par l'homme.Ainsi le mal se caractérise par l'autodestruction de l'humanité à travers les guerres, les luttes de pouvoirs, la luxure, la dépravation....Outre l'aspect diabolique et angélique, qui ne sont finalement que des allégories pour personnifier cette dualité entre le bien et le mal, la religion s'impose comme une éducation. A l'opposé, le bien représente tous les actes favorisant la prospérité de l'humanité.
    Je pense que la religion prend naissance au sein de la sagesse .En effet, la religion s'est forgée grâce à des sages bienveillants, philosophes éyant écrit initialement un ouvrage allégorique dans le but de guider l'humanité vers sa prospérité.Cette ouvrage n'a pas été écrit des mains d'un homme, mais de plusieurs sages sur plusieurs générations pour finalement devenir la bible que nous connaissons. Les ouvrages religieux telles que la bible, la torah et le coran sont des livres dit véridiques, en faite ils ont été réalisés en mélangant réalité, et mythe, pour être d'autant plus credible.En effet, une grande partie des événements des livres sains ont réellement existés, mais ils ont été embellis et mystifiés. Ces sages ont très bien su manipuler le peuple pour tenter de canaliser une humanité très instable et destructrice. Comme par hasard , ces livres ont été écrit juste après les conquêtes d'Alexandre Legrand et d'une succession de carnage barbare et sanguinaire.Ces sages se sont alors engagés vue les circonstances dans un combat sans merci pour éradiquer définitivement ces vagues de barbarisme à travers les grandes croisades("Paix à leurs ames"). Malheureusement , ils n'avaient pas prévues que le fruit d'une intention bienfaisante allaient entraîner des guerres d'intérêts interminable et ne prenant toujours pas sa fin encore maintenant avec le conflit israélo palestinien.Il est intéressant de constater comment le christianisme à réussit à inculquer mauvaise conscience,faute et culpabilité à l'humanité à travers le fameux symbole de la croix , une crucifixion d'un messie torturé par l'homme, s'étant battu par conviction religieuse jusqu'à la mort, ne voulant pourtant que le bienfait de l'homme.Quoi de plus puissant et violent comme symbolique pour dénoncer la cruauté humaine.
    C'est cette cruauté que la religion à chercher à bannir. L'homme n'est t'il pas un loup pour l'homme ? Il est en effet au sommet de la chaîne alimentaire, n'éyant pas d'autres prédateurs que lui même, il se retournera contre sa propre race pour créer un équilibre vital. Il est en effet très choquant d'avoir une telle vision de l'homme, mais elle est très proche de la réalité. Il me semble que ce serait une grave erreur d'inhiber complètement ce coté sauvage et bestial, car à force de le fuir et de l'enfouir, il risque de devenir destructeur et sanguinaire. Quand on fuit notre nature, la bête sauvage revient au galop.

    SOCIETE DE CONSOMMATION JE VOUS HAIS !!!!

    Nous parlions à l'instant de la mort physique mais il existe également celle de le l'esprit, de la créativité et du collectif. En effet constatons les effets causés par le capitalisme ravageur dévorant la culture en dépit d'une société basée sur la consommation et la superficialité.
    La devise de notre très chère démocratie liberté, égalité, fraternité peut être remplacée à mon plus grand dégoût par consommer,produire, et vendre.Notre génération, celle de Mitterrand ,est celle d'une jeunesse éclaté,perdu soumise par la consommation et surtout assommé et abruti par des medias corrompus .En effet, les médias sont entrain de tuer la jeunesse, lui imposant un style de vie, une manière de pensée et d'être, pour s'octroyer le maximum de capitaux.Ce sont les grand tyrans de cette fin de siècle car ils s'imposent à la jeunesse comme unique exemple à suivre et créait une société de jaloux , d'envieux et surtout d'assisté. Il est fort dommage de constater que la jeunesse se trompe de combat, en effet il ne réside pas dans la quête de matériaux inutiles mais dans une quête de savoir, d'accomplissements personnels non stéréotypés.On oublie actuellement sa puissance créatrice puisque tous nous est imposé et maché.Créer par soi même n'a plus aucun sens, on prend ce que le marché des biens et des services proposes betement.Le peuple se meurt et devient une masse d'assisté dépourvu d'esprit critique , suivant le troupeau qui se fait aguiché par la quête d'argent et par les images publicitaires.Cette monté de la cupidité appauvrit cruellement l'esprit , et tue la culture et les valeurs qui en découlent .La culture meurt quant l'homme ne lui porte plus d'intérêt , or un homme sans culture tend à vivre comme un animal qui vie uniquement pour sa survie et n'a plus de raison d'être. Il faudrait absolument revaloriser la culture, et stopper les vagues d'émissions stupides, abrutissant la jeunesse. De plus notre ami Socrate disait q'une vie sans examen ne mérite pas d'être vécu Les jeunes morts vivant que nous sommes, risquerons de mourir définitivement dans les générations à suivre s'il n'y a aucun changement dans les prochaines années ou un réveille de la jeunesse.
    Nous critiquons le capitalisme, mais nous sommes les premiers à y contribuer. L'acte de consommer, est le premier moteur de son fonctionnement. Il m'arrive de sourire lorsque j'observe certains jeunes issus de quartier fragile, regorgent de haine envers ce système capitalisme, mais sont les premiers à être piégé par les images de marque et contribuer à l'essor de ce capitalisme. Paradoxe de la betisse, puisque cela dénote une incohérence totale entre leur acte et leur idée.
    Moi-même, je dénonce ces effets pervers, mais je suis également pris au jeu dans ce système...Je suis un consommateur exigeant et exemplaire, quant j'achète je suis très attentif, je compare, teste, pèse les défauts d'un produit relativement à l'autre et contribue à cette ascension élitiste et délétère du marché.De plus ce souci d'image me préoccupe beaucoup, et je n'arrive pas à m'en détacher complètement.
    Comme le soulevait Bergson, l'homme tend vers du mécanique plaqué sur du vivant.Seul l'art et la comédie peuvent assouplir cet être qui tend à mourir, devenir de marbre. Mais l'art décline et entraîne dans sa chute une partie de l'homme.
    Observons l'orientation de l'art actuellement, ce n'est plus digne de quelconques formes de talents mais plutôt d'un art appauvrit, assujettit à l'ère du temps par une norme artistique. Bien sure tout individu peut être un artiste des lors qu'il s'exprime à travers un acte artistique mais très peu d'artistes actuellement relèvent d'un véritable don , en effet toute création peut être désignée comme de l'art mais loin d'être une œuvre d'art.Ou sont passé ces fameux chef d'œuvres encore tant admiré ?L'art ne se limite pas simplement à exalter ses émotions sur une toile ou au chant , il demande d'une part un travail acharné et un talent certain.Or j'ai l'impression que l'art s'est bien trop banalisé et simplifié , on ne cherche plus ce sens du beau et de l'esthétisme mais plutôt à exprimer uniquement une idée, un concept ,une critique sans travailler véritablement les traits.Or le fond est aussi important que la forme.C'est avant tous le visuel , sans interprétation de l'observateur,qui suscite non pas seulement l'attention,la curiosité, mais l'émerveillement par son esthétisme et alimente notre libido.

    L'ART EN DECLIN


    L'art actuellement regorge de revendications. En effet, la première est celle d'exister et de pouvoir laisser exprimer son imaginaire, en libérant son ego et en se démarquant de la masse, c'est un acte fondamentalement égocentrique. La seconde est plus critique voir même provocatrice, elle tend à éveiller le regard d'autrui sur certains thèmes touchant le cœur de l'artiste et nous concernant telle que les guérilla Girls, symbole de la lutte pour l'existence de la femme artiste .J'ai encore l'image de cette photo prise par Sarah Lucas, d'un corps de femme eyant entre les jambes un poulet dont l'anus a été modelé pour ressembler à celle d'un vagin .....La troisième est de l'ordre du sensible, je créais pour laisser libre cours à mon imaginaire sans chercher de messages intelligibles, c'est souvent le reflet d'un malaise existentiel qu'il faut combler en s'évadant par la créativité.
    Malheureusement il y a peu de créations suscitants un intérêt à long terme et une admiration durable. C'est un art spontané reflétant l'ère du temps ou l'on vit le jour le jour, et ou l'on laisse peu de temps à s'attarder à contempler l'art .Pour toucher l'observateur l'artiste utilise alors des procédés choquants pour provoquer un clin d'œil de l'observateur, mais il est loin d'être hypnotisé et envoûté. Serait ce l'observateur qui aurait perdu ce regard artistique ou l'artiste dépouillé de talent ? A mon avis, il y a plutôt un problème de communion entre le récepteur et l'émetteur. En effet, l'artiste moderne a plutôt le statut d'un individu en marge de la société au yeux d'une masse contemplatrice dépourvu de sens critique et d'émotions.On mélange à ce phénomène, une masse de mouvements artistiques plutôt anarchiques et en pleine explosion, avançant à grande vitesse .Et on arrive avec un décalage complet entre une masse inerte et un art en pleine essor. En effet, on produit nettement plus d'objets artistiques qu'il n'y a de yeux pour les observer.L'art est devenu productif, à l'image du capitalisme, et est devenu plutôt un remède qu'une réelle passion .Je le critique, mais je suis victime également de ce phénomène. Je crée de la pensée , sans talents véritables , j'ai un manque à combler celui d'une existence trop inerte que je fuis au travers de la réflexion.Je substitue au réel douloureux , une force créative que je dois exalter.Quant mes sens travaillent , je me sens existé.
    De surcroît, l'esprit collectif est mort, l'individualisme se l'accapare violement.L'autre n'intéresse plus c'est avant toute chose ses propres intérêts que l'on cherche à préserver. Regarder comme la politique n'intéresse plus la jeunesse, la politique se linearise la gauche et la droite semble se confondre.Ou sont passé les grands débats impliquant le peuple autour de l'agora ? Pourtant nos ancêtres en particulier les sans bonnets ont donner leur sang pour abattre la monarchie et instaurer la démocratie, et la séparation des trois pouvoirs pensée par notre ingénieux Montesquieu.Mais Il n'existe plus de rapports de proximité entre le peuple et le gouvernement, bien trop éloigné du concret, des problèmes sociaux.L'implication politique est réduit à des interventions syndicaliste éparse et centré sur des revendications bien précises. Le gouvernement ne vit pas les problèmes, il se contente de les observer et d'y remédier venement. Or la majorité des révolutionnaires sont des gens du peuple, des combattants se démarquant de la masse de part leur sens critique et visionnaire, subissant au quotidien les problèmes sociaux. Ce sont eux qui pourront apporter un remède et non pas des personnes ressortissant de l'ena (âne en verlan, tiens donc !), engorgé et aveuglé de théorie.
    L'humanité peut s'assimiler à une chaîne de maillon plus ou moins distendue d'individus, ou on peut observer à certains endroits des liens solides soudés par diverses similitudes. Ils peuvent être religieux, culturels, sportifs, familiaux, idéologiques..... Ainsi très souvent cette chaîne tend à se briser plus le maillon se repli sur lui meme.Prenons divers exemples de types de maillons, ayant des lien plus ou moins distant et solide voir inexistant avec cette chaîne humaine mondial. Tous d'abord ,parlons du maillon autarcique, doté de cette capacité à se nourrir du fruit de ces efforts , sans appuie d'une tierce personne.Dans ce cas précis , il n'y a plus aucune interaction avec l'exterieur.Si ce maillon n'empiète pas malencontreusement sur un notre , il n'y aura aucun conflit , l'autarcique sera au yeux de cet chaîne humaine négligeable , voir inexistante.Seul encore certaine tribu aborigène peuvent encore être concernée par ce cas.Ensuite , nous avons le maillon faible, celui qui à gardé un lien avec la chaîne de l'humanité , mais qui privilégie son maillon en dépit des autres. Celui la est beaucoup plus conflictuel car il partage les mêmes ressources que ces maillons proches.De gros conflit d'intérêts en découlent.Le conflit israélo palestinien permet d'illustrer ce cas précis. Il existe également des maillons prédateurs s'accaparant d'autres maillons pour n'en former qu'un .Le capitalisme est le maillon principal de l'humanité, il s'est accaparé tous les maillons est en à fait un unique , la mondialisation .Dans cette volonté mondialiste , se cache une course effrénée au capitaux .C'est un maillon extrêmement superficiel qui tant à linéariser et simplifier des liens , en dépit de la culture , des traditions et de la diversité.Cette chaîne humaine n'est plus alors liée par un échange culturel puissant et complémentaire, mais par un libre échange superficiel.A l'extrême , vous avez les maillons soumis se liant avec les maillons prédominant , très souvent à contre cœur, astreins par un rapport de force : Les pays colonisés par cette tyrannie du haut . Ce sont les grandes victimes de ces maillons prédateurs.
    Une des plus grosse gangrène est celle de la franc maçonnerie .Croire que la dictature et la monarchie ont définitivement étaient éradiquer serait se voiler complètement la face. Elle est devenue beaucoup plus vicieuse, en effet elle s'est orienté vers une monarchie souterraine regroupant des personnes d'influences (avocats, médecins, énarques,..). Ce sont ces architectes qui façonnent le visage sociétale actuellement. C'est un nid de vipères qui sifflent sous nos têtes, se glisse, s'immisce dans la société et s'octroie notre sang. Nombreux sont ceux qui se révoltent contre des pantins médiatiques mais ne savent pas qu'un jeu d'influences puissant tire les ficelles de ces derniers et les utilisent comme des objets sans se salir leur réputation.Combien de prises de décisions ont été orientés et imposés par la loge suprême. Un de leur plan les plus récent est d'agir directement sur la religion. En effet, ils souhaitent éradiquer les différentes communautés religieuses en inculquant à la jeunesse (tapant ainsi directement dans la nouvelle souche) l'idée d'un dieu unique celui du grand architecte, grand créateur de l'univers (attention il ne s'agit pas de créer une nouvelle religion mais d'orienter les croyances non pas vers un dogme mais vers une vision plus personnelle). Ainsi, il sera beaucoup plus facile d'assurer une cohérence sociale et d'orienter une masse plus homogéne.Comment ? Leur outil le plus puissant est celui des médias, il est en effet si facile d'écarter l'homme de ces croyances religieuses au travers d'images et de stéréotypes médiatiques. Croyez vous réellement que la place de la religion s'est effacée naturellement? Regardez bien certaines sectes que l'on laisse s'exprimer librement au travers d'affiches publicitaires provocatrices et arrogantes brandissant des slogans tels que : « la religion nuit gravement à l'émancipation sociale » ou bien « Jésus n'aime pas la croix ». Ces slogans remuent le couteau dans la plaie, une plaie déjà ouverte depuis longtemps .En effet, la grande majorité de la jeunesse n'a plus de croyances et est plongée dans le doute .Pourquoi à votre avis l'état ne laisse t'il pas s'exprimer les croyances religieuses au sein des établissements scolaires publiques ? Bien entendu ils sont laïques, mais quel mal y a-t-il à laisser porter une personne une marque ou un symbole religieux. Croyez vous que la jeunesse est devenue une masse moutonneuse d'assisté dépourvue d'esprit critique et de culture uniquement au travers de l'évolution naturelle des mœurs et de la mondialisation ? Il serait naïf de croire qu'il s'agit d'une évolution humaine naturelle, en effet le peuple a depuis longtemps était orienté et manipulé vers ce que la loge suprême souhaitez qu'il soit c'est-à-dire une masse de moutons malléables et stables et non une meute de loup enragée indomptable.Réfléchisez deux minutes, si l'on avait véritablement voulu revaloriser et préserver la culture , transmettre la passion de la culture a la jeunesse au lieu de stéréotypes médiatiques , cela aurait été établit depuis longtemps.Réveillez vous, ouvrez les yeux !Regarder ces images diffusées partout pour de la lingerie féminine, avec des femmes placées dans une position provocatrices et aguichantes, tous cela pour vendre leur saloperie. Mais l'état a-t-il conscience que des gamins sortant de l'école sont soumis déjà très jeunes au vice.Veut t'on créer une jeunesse d'obsédée ? Bientot nous allons apprendre à nos enfants comment pratiquer une fellation ! Pourquoi cachent t'ils leur identité ? Ne ce serait pas par crainte d'être pris pour cible du malaise tragique qui accablent notre génération. C'est une masse d'incapable complètement mégalomane, s'imaginant avoir la science infuse jusqu'à pouvoir orienter le peuple vers son bien être. Mais ou est t'il ce bien être sociale ? Un vrai gâchis !!!! Il y a un écart énorme entre la théorie et la pratique. Ils sont malheureusement victime de leur propre jeu. L'effet se retourne toujours un jour ou l'autre contre la cause. Eliminons dans le sang cette franc maçonnerie, grand gourous caché de notre société, serait peut être le remède miracle !!!! Il faut se décider à crever cet abcès qui nous dévore de l'intérieur.

    L'INDIVIDUALISME


    Les valeurs se sont également égarées. Entre l'éclatement ethnique et la mondialisation, l'homme a eu énormément de mal à créer des valeurs sures pour assurer sa cohérence sociale.Entre le mal des familles avec le divorce , les familles recomposées ,ainsi que le brassage ethnique qui éclate , la jeunesse se retrouve livré à elle-même et surtout à face à des stéréotypes sociétales mediatiques.Elle se construit sur une souche pourrie de l'intérieur tant au niveau de la mère patrie défunte et impuissante vue son manque de charisme ,que celle des familles .La jeunesse répond par un mal de vivre quasi généralisé, qui se transforme en un nihilisme total, sans passion ni centre d'interets.En effet ,ou sont passés dans notre nouvelle génération , les individus passionnés ? Les passions sont mis au oubliette, tandis que des passes temps abrutissants s'y substituent.On assiste alors à un malaise social profond celui d'une dépression collective.
    Le mal accablant les familles tue également la jeunesse entre le changement de statut de la femme passant du foyer à la femme moderne et l'homme afférait dans son travail, la place consacrer à l'éducation de l'enfant est réduit fortement. De plus, des carences affectives fortes frappent les enfants livrés à eux-mêmes ou plutôt à ce que la télévision leur renvoie. Ce manque d'encadrement se traduit par une jeunesse de plus en plus orpheline, fragilisée, névrosée, frustrée et influée par des stéréotypes médiatiques. Tous ce mélanges de facteurs est explosif et risque d'engendrer de gros dégâts sur les générations à suivre s'il n'y a pas de nouvelles résolutions.

    LA FRANCE EN DECLIN

    Il est intéressant d'observer au passage que la France a perdu depuis ces dernière decennies sa place dans le monde. En effet,  tous a commencé par Napoléon, avec le fait qu'il déleste la Louisiane, puis lors de la confèrence de Yalta, et enfin l'émergence des pays soumis...... ( à suivre en cours de réalisation)

    L'UNIVERS


    Outre cette micro vision focalisé sur notre monde et sur l'homme, nous pouvons également avoir une macro vision en ce qui concerne notre univers.Faisons une petite escale, pour s'éloigner de notre microcosme. En effet peut-on se représenter sa mort ? At'elle un commencement et aura-t-elle une fin ?
    D'après la théorie des opposés dans notre univers, chaque choses composant notre univers ou le caractérisant, à son contraire. Dans cette logique au vide on associe la matière, la vie avec la mort, la physique classique avec la physique quantique,....Mais étrangement, tous ces opposés sont toujours étroitement liés, la matière remplit de vide, la vie dépendant de la mort,...et réciproquement.Tous n'est que cyclique.
    Si on transposez cette théorie non pas sur les choses composants notre univers mais à l'univers tout entier, il devrait exister un univers parallèle complètement opposé au notre mais étroitement liée et complémentaire, ne serais pas ce que l'on nomme le néant ? Un néant ou le vide générerait de l'énergie, ce qui expliquerait en partie la formation de la matière dans notre univers. Ce principe est complètement incohérent et incompréhensible, impossible à s'imaginer, un univers sans temps, ni mouvement, dépourvu de matière mais qui pourtant génère du vivant. Mais il est aussi difficile à admettre que l'univers a toujours existé. Je pense que cet univers, peut virevolter avec notre espace temps, il n'existe pas dans notre univers mais existe dans son réferenciel opposé à la loi fondamentale de notre univers. En effet, un monde dépourvu de temps, d'espace et de matière serait à nos yeux invisible, mais dans son univers il a un sens. Faut-il forcement être pour exister ? Par souci d'être compris j'utiliserai une métaphore celle de l'esprit de notre univers. La problématique de l'origine des temps ne semble pas être résolu puisque cela la retranspose sur celle de l'origine de cette esprit, mais vu que cet esprit n'a de sens que dans un monde dépourvu d'espace et de temps, il a toujours existé. Difficile à admettre, puisque nous sommes des moutons en cloisonnés, suivant notre raison basée sur ce que nous percevons, ou bien notre imagination celle des mythes et religions .Mais comment ce néant peut générer de la matière ? L'origine de l'univers ne résiderais t'il pas dans l'infiniment petit, en allant bien au delà des atomes, tellement petit que l'espace n'aurait plus de sens et le temps non plus.La théorie du big bang sens rapproche, cette boule de matière dépourvu de vide, infiniment petite relativement à la masse de matière qu'elle a générer, qui explose au milieu du vide.
    Ne serais pas dans l'infiniment petit que le néant prend sa source ? Pourquoi chercher dans les étoiles une explication résidant au sein même de notre organisme.C'est dans le propre de l'homme que d'avoir la folie des grandeurs. Regarder l'organisation des fourmis qui pourtant sont un million de fois moins pesantes que nous, mais qui organisé construisent des fourmilières deux fois plus grande que nous.L'infiniment petit nous dépasse de loin.L'univers est une grande fourmilière atomique orchestré par leur nombre considérable si énorme qu'elle a le pouvoir de créer ce qu'elle désire.Dans la même logique le néant qui peut être infiniment petit et grand à la fois ,infiniment petit puisqu'il ne connaît pas l'espace temps , peut être infiniment puissant.Dans un espace ou il n'y a pas de temps,pas de matière :le néant ,il y a sûrement d'autre lois imperceptibles par nos esprits limités , je pourrais en deviner : deux néants qui se rencontrent soit ne forment plus q'un néant (néant cannibale) soit se repousse (extrêmement rare).Dans le cas ou ils se repoussent , un paradoxe se réalise puisque le néant se met en mouvement , un temps commence à alors a se créer pour donner de la matière.
    D'après cette théorie la mort ne serait qu'une renaissance hasardeuse. En effet rien n'empêche que dans un univers infini doté d'un temps infini, la vie jaillisse du néant et forme une infinité d'esprit dont un d'entre eux se rapproche à l'identique d'un esprit ayant déjà existé il y a 10^1000000 années.On se rapproche ici de la théorie de la réincarnation.

    LA NAISSANCE


    Mais il est difficile d'adhérer à cette théorie bien trop rigide, s'écartant de notre très chère religion ainsi que notre quotidien accablant et abrutissant.
    La mort ne peut se dissocier de la naissance car elles sont complementaires.Leipniz disait que les guerres, épidémies, catastrophes naturelles servaient de régulateur humain dans le sens ou il évitait une surpopulation ou permettait une relance économique. On peut en effet observer les relances économiques après guerre comme les trentes glorieuses avec le baby boom, période de prospérité économique, laissant derrière des massacres sanguinaires et inhumains comme la Shoah .La vie se représente très souvent en dents de scie, il faut un mouvement perpétuel pour qu'elle préserve son équilibre.
    La naissance est tous aussi mystérieuse que la mort, et reste impalpable puisque notre conscience n'était pas encore devellopée.Mais il est extraordinaire de constater que le tous début de notre existence commence par une lutte sans merci entre des milliards de candidats tous prêt à féconder cette très chère ovule, c'est la première fierté que l'on peut avoir en se dissant que l'on a été le fruit d'un des plus grand marathon jamais existé s'il avait été réel.C'est également un des plus grand terrain de bataille jamais observé s'il avait l'échelle humaine, pour le prix d'un seul homme, d'un seul survivant. C'est cruel n'est ce pas ? C'est le début malheureusement d'un élitisme qui dure toute la vie...d'une course contre la mort. En effet, la vie est un combat perpétuel, une lutte pour exister .Certains ne le ressentent pas comme une lutte car c'est leur instinct qui les guident ou l'influence d'un cocon, suffisamment présent pour diriger la vie de l'individu.
    D'ailleurs la vie est le fruit d'une évolution délétère élitiste et extrêmement séléctive.La nature se nourrit de la mort de certains êtres vivants plus fragile et manquant d'adaptabilité pour garder uniquement ceux qui ont su résister à son caractère farouche et impitoyable. Les dinosaures auraient très bien pu être l'espèce dominante de la planète , mais ils n'ont pas su s'adapter au cataclysme naturel.L'homme est le fruit de cette sélection naturelle élitiste.Il a su se montrer à la hauteur d'un challenge naturel extrêmement difficile à surmonter, celui de pouvoir reproduire sa race en traversant l'ère du temps sans s'éteindre.Non seulement il a su maîtriser le fonctionnement du réel et a pu ainsi profiter des différents objets naturels environnants pour créer des inventions utiles pour son confort et sa pérennité , mais il a également réussit à créer une organisation sociale complexe.


    LES REVES


    Qu'elle est notre moteur existentiel ? Ce sont nos rêves qui stimulent notre raison d'être, des rêves se métamorphosant en désirs puis débouchant certains sur des projets concrets.Qui n'a jamais pensé avoir une vie parallèle entre celui des rêves plongés dans l'inconscient et celui appartenant à l'état éveiller.Il n'est pas négligeable de constater que l'humanité passe près d'un tiers du temps à sommeiller. Ces rêves fascinent notre raison. Les rêves se nourrissent du réel, plus particulièrement d'images emmagasinées par notre mémoire qui se traduit sous formes de flashs. Ces flashs se révèlent pendant la phase de sommeil de manière anarchique et spontané , et c'est à ce moment que notre imaginaire effectue la lourde tache de cordonné et de lier ces différentes images cumulées et monte tel un metteur en scène , une histoire , un scénario souvent atypique . Ce lien de coordination s'articule souvent autour de notre humeur et notre état psychique.Ce monde souterrain reste pourtant mystérieux et farouche, il se montre de temps à autre sous la forme d'un scénario ressemblant étrangement à la réalité. Souvent il m'arrive de confondre les deux mondes , mon esprit reste alors perplexe et confus , incapable de discerner ou mon esprit se place.Envahit par des sueurs froides lors d'un cauchemar, mon être est capable de ressentir une douleur et une angoisse empoignante ,je sens mon corps en mouvement qui se tétanise et chute , pousse ainsi un cri de douleurs , suppliant la fin d'un calvaire qui semble interminable quant soudain tous semble s'évanouir comme un film arrêté brutalement par une coupure de courant. Juste une fraction de seconde après ce périple, mon esprit hagard ne sait plus ou il s'est éveillé.Serais ce un nouveau monde ? Tiens des objets me semble familiers, je vois se redessiner lentement la vie dont je suis le personnage. Lors de l'éveille on est beaucoup plus imprégné par les sensations éprouvées que celle du rêve dont on n'a très vaguement le souvenir.J'ai le souvenir paradoxalement d'un rêve prémonitoire cinq ans en arrière, période ou j'ai connu mon premier amour, un amour à la fois puissant et grandiose. Je gravissais lentement et inlassablement les marches de la tour de Babel, plongé dans une obscurité glaçante et morbide, j'avançais pourtant confiant et serein déterminé par l'objectif d'atteindre son sommet.Je ne savais nullement pour quelle raison mon esprit s'était épris d'une telle idée.Quant soudain je sentis un souffle glaciale et envoûtant pénétrer un corps qui ne m'appartenait plus, seul mon esprit était capable de gravir cette marche ultime menant vers son sommet. Mon âme se retrouva encerclé par ce que je nommerai des ombres lumineuses dont je ne pouvais discerner leur forme. S'en suit une sorte de murmure psalmdiant un hymne mystique qui se termina par une chute libre violente vers la réalité. Trois jours après, notre relation amoureuse de deux ans a pris fin brutalement, ce feu s'était éteint pour l'éternité. J'ai eu alors la sensation depuis d'avoir été un damné, condamné à se nourrir de la réalité cruelle d'un amour déchu.......
    Le mysticisme, les sciences occultes ne découleraient t'ils pas de ces rêves, de ce questionnement existentiel, un lien direct avec la mort, l'au delà, le paranormal.
    Certaine pratiques génèrent une attraction pétrifiante et fascine notre raison. Les vaudous , mediums , capable de voir au delà soit disant du réel , et pénétrer dans le futur pour prédire des cataclysmes , anticiper l'histoire de l'humanité, communiquer avec le monde des esprits , modifier la vie d'un homme , nous laisse perplexe. Il s'agit pourtant de grands manipulateurs, mais également de talentueux visionnaires et des physionomistes hors norme. Ce don mystique n'est qu'un énorme credulum, pour appâter les crédules. Cependant , ils possèdent des qualités extraordinaires .En effet, outre un charisme et une capacité de persuasion impressionnante , il arrive à cerner très rapidement les troubles et personnalité de leur patient et déploie ainsi un stratagème spécifique pour orienter le malade vers sa pérennité et son bonheur.Mélange subtile entre la psychologie , la psychanalyse et le mysticisme ,le medium renforce son rôle de psy en l'enrobant dans un rituel magique et envoutant.Les scientifiques ont démontré l'efficacité de l'effet placebo sur l'esprit humain. « Boit cette eau sacrée et ne te sépare jamais de ce talisman, moboutou te protège du malin et la chance te sourira .tes angoisses se transformeront en joie et bonheur » Cette phrase placé dans un cadre envoûtant et dite avec persuasion, peut soigner les maux d'un patient, lui redonner confiance en lui et en l'avenir. Les gourous utilisent la même démarche mais elle est plus complexe et machiavélique puisqu'il s'agit de gérer non pas les maux d'un individu mais d'une masse galvanisé par une mosaïque de frustrations.Elle s'articule autour d'une idéologie plus ou moins délirante, centré fréquemment autour du gourou Pour ce faire, ils aiment s'entourer de personnes faibles , malléable,et hagard , incapable de s'émanciper seul , ce sont des handicapés existentiels dépourvu de repères, de cocon et de passions. Le gourou va alors se substituer au vide existentielle les accablant, et devenir un moteur puissant et vital.Cette dépendance devient tellement forte qu'elle génère un cordon ombilical difficilement sectionnable .En Afrique, j'ai vu un de ces philosophes se combattant contre les convictions populaires. Il était pris au dépourvu entre les convictions d'un peuple rattaché à des valeurs ancestrales et traditionnelles et sa raison qui le poussait à remettre en question ces élèves sur certaines pratiques qu'il estimait dépourvu de sens. Il avait sûrement raison de penser ainsi, mais il a tore d'essayer de modifier ces mœurs. Car les mœurs sont le fondement d'un équilibre biologique et social, base de la raison populaire. Cette base sociale certes fantasmatique, n'a de sens que dans l'effort fournis par les générations ancestrales pour arriver à perperdurer des valeurs sociales et spirituels. Il ne faut pas chercher à les modifier, car elles sont le fruit d'un volonté intelligible, celui de d'établir un équilibre social et identitaire.
    D'ailleurs le fondement des religions se base sur le même principe, ce sont des sectes qui ont réussit à perdurer et à se développer. La mythologie est celle d'une religion défunte. Ainsi le cycle vital d'une croyance s'établit en quatre phases, comme celle d'une entreprise. La première se caractérise par une phase de lancement, que je nommerais la secte comprenant un cercle réduit d'adeptes. La deuxième, est une propagation de l'idéologie (les grandes croisades), phase de maturité. Puis, la phase de prospérité, ou la secte devient une religion officielle. Enfin, la phase de déclin, démystifiant la religion pour l'entraîner dans sa tombe, le mythe (mythologie grecque).
    Mais comment le mystique et le theos ont pu entraîner une telle attraction sur l'humanité? L'homme s'est toujours complait dans la soumission d'un dogme, d'une puissance divine ou d'une idole. En effet, que serait-t-il s'il n'était soumis qu'à lui-même. L'humanité serait orpheline, livré à elle-même et perdu dans cet univers infini. L'idée du néant lui ferait subir une blessure narcissique sûrement fatale et mortelle. Je vais vous racontez le décès d'une collègue de travail, une fille assaillit par la vie et complexée, dont le visage blafard et terne reflétait un vécu difficile, une vie monotone et sans issue. Elle n'était pas cultivé , n'avait pas de réel passion , son existence se limitait à courir après ces dettes et une seul ambition l'animait c'était d'ouvrir un salon de beauté.Face à ce maigre moteur existentiel , elle se nourrissait de phantasmes mystique pour fuir une réalité accablante .C'était fascinant, j'avais l'impression d'avoir en face de moi un mort vivant qui n'avait plus d'existence dans notre réalité mais qui prenait vie soudain dans un monde emplit de magies et de forces surnaturelles.Elle commençait alors à s'animer dans un monologue interminable , parlant avec véhémence et une conviction implacable. Elle disait avoir le don de lire dans les cartes , dans le café également en fonction de la répartition des grains .Passionné d'astrologie , la premier question qu'elle posait à un inconnu était son signe du zodiaque , elle surenchérissait avec d'énorme généralités en ce qui concerne sa personnalité,ses habitudes , puis se lançait sur son terrain de prédilection.Cette fille malheureusement était atteinte d'une nausée existentielle profonde qui la plongé et séquestré dans un monde ou son utilité prenait forme d


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