• > LA MORT 2 EME PARTIE

    Notre instint animal ( lire d'abord l'introduction sinon ca n'a pas de sens!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  c'est à dire le titre LA MORT)

    Même le rêveur, assouvit pas cette passion du paradie insulaire, aura une fois son désir accomplit un manque .Une vie sans manque, serait celle d'une existence sans but ?
    En observant la pyramide de Maslow, on peut remarquer les différentes étapes menant vers l'accomplissement de soi. Il y a tous d'abord les besoins psychologiques (se nourrir, s'habiller, dormir), puis les besoins de sécurité (le cocon familiale), le besoin d'appartenance (les amis), d'estime de soi et enfin l'accomplissement personnel. Selon moi, si aucun de ces besoins n'est assouvi, c'est la place à la débauche, la drogue, l'exclusion, ou le suicide.
    L'acte sexuel je pense est vital car il nous permet d'accéder a un orgasme,plaisir ultime et satisfaire notre coté bestial alliant à la sensualité,l'affectif, une brutalité instinctive.De plus il nous permet d'accéder à une certaine confiance en nous, d'un égaux revalorisé et surtout d'un accomplissement de soi.Le sexe est également un pilier de l'existence , d'ailleurs les médias ne se prive pas de jouer avec ,car ils connaisent l'ampleur de la porté du sexe sur les hommes et la place prépondérante qu'elle a dans le monde. Remarquons à quel point le sexe est omniprésent, il est le principal phantasme de l'homme. Mais y a-t-il une différence majeur entre la vision féminine du sexe et masculine. Cette différence tend au fur et à mesure a s'effacer , en effet la femme a autant voir plus de pulsion sexuel que l'homme.Tandis que l'homme se jette sur sa proie violement, prend son plaisir de manière quasi instantané et accède à l'orgasme promptement. La femme est moins brutale mais prend son plaisir beaucoup plus sur la longueur et la sensualité, elle peut également avoir une succession d'orgasmes lors d'un rapport ce que l'homme peut difficilement réaliser.Mes propos sont des généralités comprenant un nombre considérable d'exeptions.La femme peut tirer en effet son plaisir en soumettant un homme comme le ferait un male dominant.Une relation sexuelle peut prendre également la forme d'un échange de tendresse .....
    Mais il ne faut pas oublier la bête qui sommeille en nous, et chercher à la fuir.

    D'ailleurs peut-on dire que l'homme est un animal ? Souvent, on vous répond que l'homme n'est pas un animal mais c'est un être humain. Paroxysme de la betisse, puisque l'animal en est un également. Beaucoup refuse par égocentrisme, d'adhérer à la théorie de Darwin stipulant que l'homme descendrait du singe. Il est vrai qu'elle a été démantelé, mais pas dans sa globalité puisque l'homme fait tous de même parti de la même lignée que le singe.De plus avec 99,9% de similitude génétique avec ce primate, tous corrobore pour dire que nous sommes étroitement similaire.Pour répondre à la question précédemment posée, il faudrait définir quelles seraient les nuances majeurs entre l'homme et l'animal. Certes, l'homme est indéniablement l'être vivant le plus intelligent, et qui se place au sommet de la chaîne alimentaire .Cependant, un grand paradoxe prend forme quant on observe certaines actions de l'homme s'affichant au sommet de la bestialité.En effet, quel être vivant est capable de massacrer le plus de congénères ? Les guerres, les tortures marquant la volonté de faire souffrir, les massacres ethniques sanguinaires, semble placer l'homme comme étant indigne d'être un animal. Mais cela est t'il suffisant pour nous donner un statut nous démarquant complètement de l'animal ? L'animal pourrait se définir de part un instinct inné qui ne peut contrôler, or l'homme en possède également un, certes plus complexe. Il a un instinct de survie, de reproduction, ...Mais ces actions peuvent réfléchit, et prennent en compte l'avis des autres. L'animal est incapable d'avoir une réflexion propre et collective, surtout s'il s'agit d'un objet qui ne concerne pas sa survie.Dans cette logique l'animal est purement instinctif , tandis que l'homme outre son aspect instinctif peut être sensitif , réfléchie ,critique . Un animal est incapable de se remettre en question par lui même, il cessera d'agir d'une certaine manière car il y aura un danger, une réprimande, une douleur sensorielle. L'homme peut surpasser ce danger ,repousser ces limites, continuer de souffrir perpétuellement pour atteindre un objectif.Tandis que l'animal ne prendra jamais ce risque puisque cela va à l'encontre de son instinct de survie.Prenons un exemple très simple , un animal encerclé par une barrière de flamme ne va pas chercher à rentrer dans se mur de feu pour s'échapper , l'homme lui le fera comme dernier recours.La réciproque est également vrai, l'homme est capable de faire souffrir volontairement et de massacrer une masse d'individu pour atteindre un idéal politique , religieux, idéologique....L'animal ne cherche pas à faire souffrir , il tue noblement. L'homme s'en donne à cœur joie dans certaine situation .C'est cette nuance qui le rend encore plus bestial que l'animal. On ressent par moment des émotions si complexes et puissantes , qu'elles peuvent dégénérer et engendrer des pulsions meurtrières nous rendant beaucoup plus bestiale que l'animal purement instinctif.Ainsi, la différences majeur entre l'homme et l'animal réside dans le fait que l'homme n'est pas complètement dominé par son instinct car il est capable de le surmonter de part la réflexion, la remise en question et de le décrire ,ce dont l'animal est incapable car il est purement instinctif c'est-à-dire diriger par des pulsions innées .

    Nos pilliers existenciels


    Si la vie ne nous procure plus aucun plaisir, l'action n'a plus de sens.Pourquoi continuer à assurer sa survie s'il n'y a plus de désirs, d'espoir qui nous habite.Le suicidaire semble etre touché par cette vague de sentiments nauseabonds.Il suffit pour certain qu'un désir s'écroule, pour que le monde dans lequel la personne vit, s'effondre violement.Une déception peut mener à un échec définitif et une voie sans issu. Comment expliquer qu'un homme mette fin à sa vie sous le prétexte d'une tromperie ? Humain trop humain, il suffit d'un seul désir pour peupler tout un monde, si ce désir disparaît la raison d'être n'a plus de sens. Nous sommes tous profondément fragile, même Alexandre le conquérant avait une faiblesse profonde celle de l'amour malgré sa carrure de guerrier sanguinaire et impitoyable.La raison d'être a souvent une souche unique qui prime sur les autres.Certains s'appuie en effet prioritairement sur l'amour d'une personne, d'autre sur la famille, l'amitié, de l'argent, d'un combat politique, idéologique,.....Simple, unique ou pluriels elle se dessine en fonction de la personnalité et du vécu de chacun. Il m'arrive très fréquemment d'analyser les raisons d'être des individus pour mieux comprendre me connaitre, certaines sont complètement excentriques et loufoque. J'observais un individu qui passé la majorité de son temps libre à se balader dans les rues de Monreale avec un nez de clown autour du cou, pour faire rire les enfants.Il n'était pas fou, mais complètement dans son tripe.Cette exemple démontre que la satisfaction personnelle passe dès fois par des choses simples. Je ne pourrai me contenter d'un plaisir aussi simple, mais il semble certain qu'il est plus heureux que moi, mais ne vivra pas forcement le bonheur. « Heureux sont les ignorants ».Mais quelle différence peut-on faire entre l'état d'une personne heureuse et éprouver une sensation de bonheur ?
    Elle est énorme, le bonheur est une fleur rare qui jaillit de temps à autre de la souffrance et la monotonie, c'est un sentiment extraordinaire puissant et orgasmique.Je pense que l'ignorant ne peut connaître ce sentiment, puisqu'il découle d'un mal de vivre existentiel, d'une carence. C'est dans l'amplitude entre le passage d'une platitude, à l'apogée d'une délivrance du mal qui nous accable, que le bonheur prend sa source. A l'opposé, la sensation d'être heureux reste souvent perpétuel et ne connaît très peu de rebondissements, il s'agit d'une existence plate sans souci, sans remise en cause, c'est un peu se mentir à soi même et s'aveugler sur le monde extérieur. Cette sensation est très souvent éprouvée par le mouton et l'autruche.
    D'ailleurs la souffrance n'est t'elle pas la source et le moteur d'inspiration d'une grande partie des artistes, qui de part ce malaise ont subit une forme de maïeutique (accouchement d'esprit), le poussant à se remettre perpétuellement en question. La créativité ne découlerait t'elle pas d'une carence, une majorité des artistes, écrivains, chanteurs de nausée existentielle ? En observant une grande renommée, on peut effectivement le constater. Entre Freud, médecin généraliste qui dans un test d'étude s'accoutuma à la cocaïne et commença à entreprendre la psychanalyse et écrit l'interprétation des rêves ou un nouveau concept est née celui de l'inconscient.Mais également Baudelaire, complètement assommé par les narcotiques qui écrit les fleurs du mal, ouvrage universellement connu .On peut en dire de même avec Rimbaud, Nietzsche,....Pourtant malgré ce malaise, ce sont ceux qui arrive le plus à nous faire vibrer d'émotions et rêver.....
    Faut'il savoir souffrir pour être artiste ? Je pense que la souffrance est nécessaire car elle permet une remise en question de soi même et ouvre les yeux sur une autre réalité .Elle permet également d'exalter certaine sensation qui nous semblaient étrangère auparavant. Un bel ouvrage décrit très bien ce phénomène celui de l'allégorie de la caverne de Platon. C'est l'histoire de cinq enfants, prisonniers depuis l'enfance résidant au fond d'une grotte. Ligotés et assis face à une parois sombre et lugubre, ils contemplent indéfiniment l'ombre de la réalité projeté sur un mur de part un maigre faisceau lumineux s'immiscant dans l'antre.Leur quotidien est animé par un jeu d'ombre et de lumière, seul réalité apparente. Quand un jour un soldat découvrit cette grotte, choqué par cette rencontre un seul accepta d'être délié, les autres ne voulant pas quitter le seul monde qu'ils connaisaient.Mais soudain l'homme déliée ,aveuglé et brûlé par la lumière du jour , poussa un gémissement de douleur, et se réfugia au fond de la caverne avec ses acolytes.Il préféra rester dans son microcosme suite à l'expérience douloureuse qu'il vint de vivre.Il en va de même avec la réalité , beaucoup de personnes s'enferment d'en un cocon protecteur réducteur , et refuse de se confronter à la vérité car elle fait mal .Tous le monde ne sait pas forcement la gérer.Rare sont ceux qui la voie en trois dimensions et possèdent ce troisième œil pour mieux la cerner et la comprendre.Quoi de plus puissant que de cerner ce que d'autres n'arrive pas à percevoir,d'arriver à observer certaines subtilité dans le réel mais cela peut rendre faible est faire perdre la raison.

    La Folie


    La folie est d'ailleurs aussi caractéristique de l'artiste.Non pas fou dans le sens clinique et pathologique du terme, mais dans ce qui le fait sortir de la norme, de la conventionalité. En effet, la masse à souvent un regard extrêmement critique et dévalorisant envers les excentriques.Il trouve son inspiration en étant en marge d'un système.
    Contrairement aux hommes de sciences, l'artiste ne cherche pas une raison rationnel pour comprendre le monde environnant, mais le contemple avec passion, l'observe, s'enivre de ces formes, couleurs et mouvements. Sa représentation de la mort suscitera un tableau coloré et non un schéma rigide.
    Pourquoi l'homme de science cherche t'il à maîtriser l'ensemble des mécanismes de ce monde ? Il va jusqu'à créer des sciences inutiles.La science créer des sciences.Il aimerait tant tendre vers un certain déterminisme , mais sait avec frustration qu'il n'atteindra jamais la vérité existentiel. Je pense qu'à travers cette pseudo maîtrise du réel, il tend à se rassurer d'avoir découvert un de ces mécanismes.Malheureusement plus le savoir et la connaissance s'amplifie , plus le nombre de problématiques se multiplie.Regarder ce sociologue afféré à comprendre la nature des conflits sociaux, le fonctionnement des systèmes symbolique ou bien la place des sciences sociales dans la cité,mais qui ne connaît même pas son propre fonctionnement.Il est bien beau de comprendre le mécanisme d'un groupe social , mais dans quelle utilité ? Mieux se connaître ? Par simple curiosité ? Pour mieux les dominer ? Difficile de trouver une réponse, on en revient toujours au même point celui de l'existence, ce donner un rôle pour exister pour oublier que nous ne maîtrisons pas notre existence.
    Je pense qu'il y a un stade ou il faut arrêter de vouloir tous maîtriser,comprendre ,rationaliser,schématiser,ordonner.Un raisonnement objectif ,cartésien ,dépourvu d'émotions,ne me procurera aucun plaisir.Ou place t'on la magie de l'interprétation du réel ? J'aurais voulu vivre 10000 ans en arrière et pouvoir contempler les étoiles et le monde avec émerveillement et sagesse, laisser courir mon imaginaire.Pouvoir m'imaginer une terre plate survolant une pluie de lumiere.Quoi de plus puissant que de pouvoir contempler le désert et de l'animer par nos songes, et générait à partir de cette étendue de poussières aride sans limite, un monde mirifique emplit de magie et de vie.Notre très chère St Exuperry s'y est donné de cœur joie. Maintenant, je n'arrive plus à rêver, car tous à été rationnalisé.Or la place du rêve dans une existence est vital, on passe en effet un tiers de notre vie à sommeiller et à être plongé dans nos songes les plus profonds. . Le rêve est une veille existentielle, un refouloir de nos frustrations, désirs et phantasmes. C'est je pense un des moteurs de notre imaginaire et dans un sens un garde fou contre la réalité.Meme si l'action s'oppose au rêve, il n'en fait pas d'un rêve un objet complètement inactif. En effet, notre corps semble être inerte mais l'action se fait de part la pensée. Il me semble que le rêve est une charnière entre la vie et la mort.
    L'imaginaire possède une source inépuisable et est capable de donner la vie à un concept inexistant ou redessiner les courbes d'un passé oublié. « Les sels essentiels des animaux se peuvent préparer et conserver de telle façon qu'un homme ingénieux puisse posséder toute une arche de noyée dans son cabinet et faire surgir, à son gré, la belle forme d'un animal à partir de ces cendres ; et par telle méthode, appliquée aux sels essentiels de l'humaine poussière, un philosophe peut, susciter la forme d'un de ses ancêtres défunts à partir de la poussière en quoi son corps a été incinéré »
    Seul encore certains concepts insaisissable m'émerveille encore heureusement, ils resterons éternellement puissants .Bien sure, j'essaye de comprendre certains phénomènes mais ce sont des sujets qui me blesse, me touche directement, ou font rêvé, je pense avoir abordé jusqu'alors des sujets concernant l'ensemble des hommes.

    L'éducation

     

      Regardé combien de filières, notamment à la faculté, sont sans issue ! Il est exacerbant de constater également la masse de cours inutiles enseignés.Meme les professeurs n'ont plus leur place dans ce système, la loi Fillon en est sont reflet Mais quels sont les enjeux d'un enseignement aussi décalé et bafoué? Il est très simple d'y répondre, en effet il ne s'agit plus que d'une sélection mise en place pour minimiser le nombre de diplômés .C'est la conjoncture économique déplorable qui créer cet élitisme. Le marché de l'emploi est actuellement saturé, car le marché de l'offre et de la demande est en pleine phase de déséquilibre. Les jeunes sont confrontés alors à une succession de paradoxe. D'un coté on leur demande une expérience professionnelle et de l'autre d'avoir un diplôme sans être surdiplômé. Mais comment voulez vous avoir de l'expérience si vous postulez pour votre première emploi dans le domaine ou vous avez été formé ?Faut'il s'arracher un bac plus cinq alors qu'un bac plus deux est plus demandé ?J'aimerai vous posez un petit probleme.Pouvez vous m'écrire une lettre de refus de candidature ,sans utiliser le terme refuser , et sans aucune négations ?Voici mot pour mot ce qu'un responsable de département des ressources humaines m'a écrit suite à l'envoi d'un CV pour un poste de conseiller commercial. Je les envoyé suite à l'obtention de mon BTS force de vente .... « Monsieur ... Vous avez bien voulu vous intéresser à notre annonce pour un poste de conseiller commercial. Il est trop de différences avec les critères définis, certes dans le contexte spécifique de notre organisme, pour qu'un entretien vous en apporte autre chose que la confirmation. Si à l'avenir, l'une de nos offres était de nature à mieux vous convenir, nous serions heureux de nouer un contact plus approfondi.... » Alors que ma formation était de paire avec le poste pourvu...Observer bien la manière dont cette phrase a été tournée.Ne prête t'elle pas à confusion ? Quelle lourdeur dans l'expression ! Si vous lisez la deuxième phrase, la complexité de l'expression camoufle le refus d'un entretien. C'est normal il en va de paire avec le commercial que d'orner et camoufler les vices cachés ou défaut de part des phrases longues euphorisantes dépourvues de mots négatifs.Celui ci était un véritable virtuose , il faut l'admettre...
    L'entreprise dicte les lois du marché liberaliste. Sa personnalité en devient tyrannique, car elle possède actuellement le plein pouvoir à la fois exécutif, judiciaire et législatif. C'est elle qui domine les reines du marché. Un marché de plus en plus demandeur d'emploi d'un coté et de l'autre une offre toujours plus puissante.La demande est réduit à l'esclavagisme moderne. Entre les entretiens collectifs, les testes d'aptitudes, les concours,... tous les moyens sont déployés pour se débarrasser de ce surplus de demande.Mais ce filtrage est très souvent injuste et complètement décalé. Beaucoup d'individu se voit refusé un poste sous un prétexte complètement exubérant. Tandis que d'autres échappent à ce filtrage en s'appuyant sur le piston d'un proche, et sont très souvent des incapables qui ne s'investissent pas car tous le travail leur à été maché.Ils n'ont alors aucune raison de se battre. Il faudrait pour soigner cette gangrène sociétale qu'une nouvelle révolte éclate, un soulèvement de la jeunesse. Je pense qu'il arrivera un stade ou tous le monde se sentira concerné , dès lors que le paroxysme sera atteint, la tension devra être alors à son comble et ne pourra plus se contenancer .
    Oh rage oh désespoir qu'ai je donc fait pour subir cette infamie ! Pour l'instant le moment n'est pas encore d'actualité, on subit sans agir. La masse semble être inerte mais je garde espoir, ce volcan éteint peut se réveiller à tous moment.
    Mais certains se sont déjà insurgé contre ce système, on la désigne sous le nom rabaissant de délinquances, cette classe désigné comme dangereuse, incomprise et négligé.Un mouvement de jeunes soit disant dépourvu d'avenir et d'initiatives, dérivant vers la violence, la bestialité et la corruption.Cette délinquance tant traquée et utilisée comme prétexte pour renforcer la sécurité, argument phare de l'extrême droite.Tous ces jeunes révoltés, affligés par un système oppressant et fondamentalement injuste malgré les apparences. Comme disait Bergson « le reflet d'un bâton dans l'eau le courbe, mais la raison le redresse ». En effet, il ne faut pas voir et interpréter ce que les médias peuvent déblatérer sur cette délinquance, entre les viols, les violences à mains armées, les projectiles à l'encontre des services de l'ordre, .... Mais essayer de comprendre la raison de cette attitude face à ce système. Pourquoi ces jeunes adoptent t'ils une attitude complètement désinvolte et lymphatique à l'égard de notre société ? Tout simplement par ce qu'ils n'ont aucune place pour se sentir existés et valorisés dans ce bas monde. Comment voulez vous vous épanouir alors que votre environnement respire la mort, les HLM respirent un environnement carcérale et lugubre ? Vous ajoutez de surcroît un conjoncture économique déplorable et une perte de ces racines familiales après la seconde guerre mondiale (puisqu'il s'agit pour une grande majorité d'immigrés) ; vous formez ce que l'on nomme la délinquance actuelle. Une jeunesse d'orphelins, livrée très tôt à eux même, mal accepté et délaissée.Elle cherche alors venement à s'exprimer au travers de la création artistique. En effet, l'art de rue, que ce soit les tags, breaks, la musique : le Rap Français, converge vers cette soif d'exister et de se faire connaître.Mais il tend à devenir de plus en plus arrogant puisqu'il manque un récepteur actif Ceci dénote un besoin de revendication ethnique et identitaire, comme le font la majorité des communautés.C'est ce malaise sociale qui génère cette puissance créative.Je préfère de loin cette attitude révolté , que le comportement lymphatique et aphasique de certains jeunes embourgeoisé, complètement déconnecté du monde extérieur,des larves sans personnalités....
    J'ai été fasciné par l'ouvrage du sociologue francois Dubet , qui dans un bloc comprenant plus de quatre cents pages décrit les causes profondes de la violence quotidienne générait par cette délinquance. Alors qu'il suffirait d'une explication tenant dans une page au maximum pour comprendre les causes de ce phénomène social. Heureusement qu'il avait l'appui d'un nombre considérable de références...il n'aurait jamais pu créer par lui-même un ouvrage aussi conséquent.

    Un point m'inquiète fortement, il s'agit du déclin de l'enseignement, plus précisément de l'éducation nationale. Elle n'a plus aucun sens, sauf celui d'un élitisme ravageur et découragent. "L'égalité entre les hommes est une règle qui ne compte que des exceptions."Ernest Jaubert

     

     

    Esprit communautaire


    L'esprit communautaire est également un des piliers de notre existence. C'est un cocon protecteur eyant ces règles, sa culture, son fonctionnement propre. Elle permet à bon nombre d'individus de s'épanouir. L'homme solitaire est faible, il a besoin de se rattacher au nombre pour être rassuré. Le besoin de se mettre en couple dénote cette idée , il est en effet beaucoup plus facile d'assumer l'existence si elle est partagé entre deux êtres humains qui s'aiment, se complète et s'harmonise mutuellement.Le besoin d'être en bande ou en clan décrit bien se phénomène dans les banlieue.Les sectes , rattachement à un dogme religieux sécurise les hommes.Mais il existe des exceptions à toute ces generalités.Moi, je n'y adhère pas , je suis un homme solitaire , j'ai une vie à la Bohémienne, je n'adhère complètement à aucun mouvement de pensées ou communautés , je vis l'instant présent , contemple l'homme dans sa splendeur.La norme moripile , mais je l'accepte sans y adhérer.
    Mais que représente la norme ? Quelle est cette prétention de me sentir en dehors de la norme ? La norme représente une masse d'individus plongée dans leur microcosme et suivant les tendances du moment s'identifiant sous la forme du conformisme, mais étant dépourvu de personnalité et d'esprit critique. Pourquoi se tenir la main quant on est en couple ? Pourquoi suivons nous des idoles, et musiques à la mode ? Pourquoi ne laisse t'on pas sa propre imagination s'exprimer librement sans avoir cette peur d'être jugé ou critiqué par le regard d'autrui ? Le pouvoir de la masse sur l'individu ne doit pas être une barrière pour assouvir ses désirs.Il faut exprimer ce que notre identité unique nous a laissé.Nous sommes si différent et pourtant nous tendons à être de plus en plus semblable actuellement. L'originalité est rare, elle s'exprime uniquement à travers un excentrisme contestataire mais pas véritablement naturel. Si demain je me ballade dans la rue avec une chaussure sur la tête, ce n'est pas par provocation de la masse mais car je me sentirai bien dans ma peau....
    La mode découle de ce besoin d'appartenance à un mouvement de pensée identitaire, à une communauté, à une idole ou bien simplement ce qui est proposé comme de la mode par les médias. Mais quel est l'intérêt de s'associer à un mouvement ou de cultiver son apparence? Actuellement, l'homme occidental attache de plus en plus d'importance à la forme, c'est la culture du corps, du paraître. L'homme prend en effet son corps comme un objet qu'il faut embellir pour attirer l'attention ,séduire, se démarquer socialement , idéologiquement .Il est devenu pour certains quasiment vital d'habiller un corps dépourvu très souvent de contenu. La superficialité représente tout un art, celui de camoufler une carence d'esprit en dépit du paraître. Ce phénomène est en pleine expansion, puisqu'en parallèle le fond décline. L'esprit meurt dans un corps qui se met en valeur. Attention, il ne faut pas généralisé, l'habit met en valeur, et permet de tamiser des défauts frustrant et génant.L'habit est également un objet artistique, c'est une création unique. Mais dés lors qu'il se multiplie à l'identique et prend la forme d'un symbole identitaire , ou est porté a des fin non pas esthétique mais provocateur ou par souci d'être dans la norme, la tendance , il pert de sa personnalité , de son originalité . Cela devient un objet de consommation massif, fade et sans intérêt qui se détache complètement de la personnalité des individus. En effet, si chaque personnes s'habillait de façon a laisser s'exprimer sa personnalité, ses goûts,sans autre influence que celui de son imagination , l'habit aurait réellement un sens ,une valeur unique, mais il a tendance à s'effacer dans une masse de stéréotypes standards univoque.
    Ce sentir libre du regard des autres est un sentiment puissant permettant l'originalité mais il est s'y difficile d'y accéder car il demande bon nombre de concessions.
    Nous avons aborder vaguement plusieurs sujets entre l'existentialisme, la naissance de notre univers , la mort concrète , la mort de la culture,le déclin de la jeunesse, le destin , la norme ,l'art, le suicide....mais quel est le lien directe par rapport au sujet abordé : la mort ? Tous ces sujets concernent l'homme et peuvent l'amenuir ou le tuer. Si l'homme tend en effet vers ce que le capitalisme souhaiterait qu'il soit, si l'art et la culture déclinent, si l'homme ne se remet plus en question et se contente d'une existence plate et sans mouvement, si l'humanité se réduit à une masse uniforme. Pourquoi alors perpétuons nous l'existence ? La vie n'a plus de sens s'il s'agit de vivre uniquement pour fonder une famille standard et un foyer.Elle à un sens quant l'homme lui en donne un.
    Mais quel serait le remède miracle pour soigner tous ces maux ? Il est très difficile de répondre à cette question puisque je suis à la fois acteur, spectateur, et figurant de ce monde. Un observateur de passage, complètement extérieur à notre très chère planète bleue aura beaucoup plus de facilité à y répondre, car je suis actuellement dans une cellule emprisonnée dont je ne peux discerner les parois.J'arrive à percevoir certains disfonctionnements mais je reste un être limité. Cependant, s'il y avait une plus grande cohésion dans cette grande famille humaine que nous formons, certains débats seraient plus facile à aborder.Je bannis l'ultra communautarisme réducteur et générateur de violence , je suis pour l'épanouissement de chaqu'un au travers de son identité et non d'un emblème historique, charismatique, religieux, médiatique ,.... A l'opposé, la cohérence sociale passe par la culture du débat.En effet, Le dialogue illumine les êtres vivants, et crée une ouverture sur autrui, brisant ainsi les idées préconçues de la doxa.Elle permet ainsi d'apaiser les tension canalisées et débordantes au sein de notre être, qui risquerait d'exploser si aucune maïeutique n'est pratiquée. La jeunesse actuellement est en pleine ébullition,
    Les juifs par exemple sont une communauté égoïste , en marge de la société , s'implantant dans les domaines d'influence tel que le commerce, la politique, et les médias pour mieux régner et dominer.C'est une grande secte , qui a réussit a se faire respecter. Il est beaucoup plus facile de traiter un arabe de bounioul, que de traiter un juif de youpin.Pourquoi ? Parce beaucoup de leurs confrères sont hauts placés. Ils vivent en autarcie de notre systéme.Beaucoup de paradoxe découlent de leur attitude .En effet, ils prônent la non violence, méprise le racisme et la discrimination, sont pour le mélange des cultures et le brassage ethnique en France. Pourtant, l'état d'Israël tend à s'opposer à ces principes .De plus, il est extrêmement difficile de rentrer dans leur communauté ou pire encore se convertir au judaïsme des lors qu'il n'y a pas un lien de sens sang existant.Ce qui est comme par hasard beaucoup plus facile dans les autres religions. Avez-vous déjà vu un juif vous incitant à rentrer dans sa communauté ? Je vous met au défit.....Certains sont de grands hypocrites très intelligents et manipulateurs, qui profitent d'un système français souple et tolérant pour le rendre encore plus malléable. Une de leur plus grande erreur et de se replier dans leur communauté.Elle se prive alors d'un dialogue, si nécessaire pourtant pour calmer la monté d'un antisémitisme de plus en plus omniprésent et violent .....Attention je ne suis pas antisémite mais je critique l'attitude fermé et égoïste de certains éléments de la communauté juive.D'ailleurs je me suis demandé pourquoi on t'ils étaient si mal traité depuis plusieurs décennies.Plusieurs facteurs permettent d'y répondre. Tous d'abord, celui de la jalousie générait par la richesse de cette communauté. Mais comment expliquer cette richesse cumulée ? Il est simple d'y répondre, en effet les juifs n'ont jamais diabolisés l'argent comme l'on fait les chrétiens ou les musulmans. C'est une nuance de valeurs qui à créer cette violence .Les juifs ont su devellopés très tôt l'art du commerce et de la négociation, tandis que les chrétiens restaient cristallisés dans cette pseudo charité.Ce qui n'a pourtant pas empêché au clergé de s'enrichir et de vivre sur cette charité chrétienne....Les juifs ont pu alors se forger une très bonne assise , s'implantant dans des postes haut placés en tant que banquiers , avocats ,....Leur situation financière leur a également permis de s'adonner pleinement à l'art et la culture.Regarder le nombre considérable d'intellectuels et de scientifiques renommés !
    Ensuite, il faut prendre compte des pratiques religieuses quasi fanatiques en engendrant aux yeux d'autrui une crainte et une stupeur face à certaines de leur pratique. Quand vous observez des enfants n'eyant même pas l'age de raison, qui sont déjà obligé de porter un accoutrement religieux vous commencez à remettre en cause leur pratique.La loi malheureusement donne le plein pouvoir au parent en ce qui concerne l'éducation religieuse. Je m'insurge complètement contre ce principe, en effet ces enfants n'ont pas le choix de suivre ou non ces pratiques puisqu'on les lobotomisent avant même qu'il ait un esprit critique .Ils naissent et meurent dedans.
    Enfin, l'esprit fermé et conservateur de cette communauté, la prive de tous dialogue et laisse une masse de préjugés se former.
    Vous mélangez ces trois facteurs entre une commaunté eyant l'image d'un cercle fermé, conservateur, fanatique et monopolisant de grande richesse, vous générez un rejet violement explosif, ce que l'on nomme l'antisémitisme.Il serait pourtant tellement simple d'y remédier, en laissant place à une ouverture sociale et un dialogue rendant plus lumineux certains aspects obscure et trop conservateur de cette communauté.
    Un sujet me chagrine lorsque je pense à certaines personnes passant leur existence à s'accaparer toujours plus de capitaux, en dénigrant complètement les hommes et la nature environnante .Ce sont de véritables prédateurs, eyant ce sentiment de culminer la race humaine.....

    L'amour


    Quelle place laisse t'on réellement à l'amour dans ce monde ? Pourquoi vaut t'il mieux aimer pour exister ?
    L'amour fait graviter notre existence , c'est un puit d'émotions , un soleil autour duquel se forme notre système existentiel, une fusion de deux atomes constamment en dualité .Certes à double tranchant , mais si vital. C'est un sentiment fondamentalement instinctif mélangant reproduction, affectif, partage, sécurité, conquête et accomplissement.En effet, le fondement de l'amour est la création d'une famille, de clone, d'un mélange entre la reproduction d'une partie de soi même mélangé avec celui ou celles qui acceptera de le fusionner avec son soi.Cette fusion n'est pas forcement physique , elle peut être le fruit d'une passion commune.Le célèbre couple volcanologue , les Krafts , se sont liés d'une passion commune qui à fait d'eux de véritable inséparables, pourtant iln'ont jamais eu de progéniture.C'est un choix très difficile, il faut une corrélation ou complémentarité pour que deux êtres acceptent de générer un fruit double et non unique. L'homme est pourtant foncièrement égoïste et égocentrique, pourtant il se voit obligé lorsqu'il décide de faire un enfant de s'associer avec un être différent. L'amour est dans ce sens un paradoxe allant à l'encontre de sa nature égoïste. Mais l'amour est tous de même égoïste en soi, c'est le reflet d'une personne qui nous renvoie ou revalorise, sécurise notre égaux.C'est également un objet qui semble nous appartenir. Se tenir la main, s'embraser en publique marque cette volonté de s'appartenir l'un l'autre.Ce qui raisonné serait stupide, en effet une personne n'est pas un objet elle ne nous appartient pas .L'amour a sa raison, que la raison ne connaît pas.
    Mais quels sont les facteurs déterminant cette attraction ? Ils sont multiples, l'attirance physique et tous aussi importante que le psychique. Un amour ne peut être complet lorcque l'alchimie physique n'est pas comblé. L'équilibre sexuel qui en découle en partie ne sera pas optimalisé.Un déséquilibre en découlera qui faudra soigné en revalorisant l'affectif, l'intellect, ou d'autre point moteur du couple. Un amour passif peut-il perdurer sans aucune relation sexuelle ? Je pense que l'homme en est capable malgré de grosse carences, il peut se satisfaire d'une complicité très forte mélange de tendresse, d'affectif et autres...Il tend alors vers un amour platonique, proche de l'amitié.L'amour en effet ne puise pas seulement sa force dans un moteur unique mais se nourrit d'une masse d'énergie provenant de divers origines. En général, l'amour parfait n'existe pas, et c'est de ces imperfection que la dualité prend naissance, moteur du couple.Un amour sans remise en question est un amour sans mouvement qui, s'il existait ne durerait qu'une fraction de seconde.Mais quelle place à la beauté dans l'amour ? Tous d'abord je donnerai une définition de la beauté. La beauté est un eugénisme, elle prend sens dans le nombre et non l'unité. En effet, un individu solitaire placé depuis son enfance sur une île déserte, ne pourra avoir de représentation de la beauté. Elle prend naissance des lors qu'il y a un émetteur et un récepteur, c'est-à-dire un regard mutuel pour admirer et juger. Je pense qu'il y a deux choses définissant l'attirance envers un être humain doté d'une beauté physique.
    La première est un eugénisme c'est-à-dire lié à nos gènes, ce sont nos gènes qui définissent des phénotypes bien spécifiques générant au sein de notre organisme des pulsion sexuelles et un instinct reproducteur .En général cette beauté a une souche universelle, de belle dent, de belle main, un visage symétrique et fin, sans défauts grossiers.
    La deuxième est celle causé par l'attraction de l'objet tant désiré sur autrui, de part non seulement son physique mais son charisme, sa personnalité, son originalité, une qualité (sa gentillesse son sens de l'humour, sa culture) cela peut prendre une infinité de formes...... Le charme par exemple ce placerait dans cette catégorie lié à cette attraction .D'ailleurs, heureusement que le charme a sa place, sinon la reproduction ne serait qu'un privilège des individus dotés d'une beauté eugénique
    .La troisième , est celle de la fierté et de la jouissance généré par son pouvoir de séduction sur l'objet avec lequel on s'est lié.Plutot féminin comme attitude , en effet l'acte de se maquiller, traduit un pouvoir de séduction sur son male dans un désir possesif.On rentre ainsi dans leur jeu de séduction pour mieux les charmer.L'ere romantique traduit un peu se phénomène , c'est-à-dire celui d'un homme se soumettant jusqu'à se rabaisser à tous les caprices de sa dulcinée( invitation au restaurant, dîner aux chandelles,....) , la femme se sent alors revalorisé par cet acte de soumission par rapport au charme qu'elle génère. Dans ces trois catégories il y a toujours ce phénomène d'une part de recherche d'un être dominant, dans le sens ou l'attirance se fait souvent par rapport à un objet qui se démarque relativement aux différents critères que j'ai pu énoncé ci-dessus, d'autre part dans une dualité permanente entre l'acte de se soumettre et de dominer l'autre. D'après mon raisonnement, un male dominant serait un individu à la fois doté de cette beauté eugénique parfaite, sportif de haut niveau, champion dans son domaine, extrêmement cultivé, sensible, artiste dans l'âme,....A ce male, il faudrait associer une femme eyant assez de puissance séductrice pour le dominer de temps en temps pour ne pas se laisser soumettre par l'attraction puissante qu'il génère. Le sadomasochisme, est une dérive extrémiste de cette dualité soumission, domination, c'est un rapport de force qui caractérise de façon violente ce phénomène.
    La beauté devient actuellement un stéréotype au travers des médias. Ils imposent une norme à la beauté, celle d'une beauté malheureusement bien trop eugénique et parfaite. Tous ceci est machiavélique, puisqu'en parallèle on vous propose des produit cosmétique miracles affinant votre corps et le rendant plus esthétique. Le résultat au final est quasi sans conséquences mais il a la propriété de procurer un effet placebo .Beaucoup de femmes se font avoir par cette manipulation médiatique.
    J'observe bien trop de couple ressemblant à ceux de quinquagénaire .Quel gâchis ! Que de se contenter de la présence mutuelle de l'autre pour se sentir existé ! Je l'ai commise , et j'ai été pendant plus de deux ans complètement fermé , replié sur notre couple , seul raison d'etre.Ceci limite l'esprit, et empêche l'épanouissement personnel.Il vaut mieux s'épanouir seul que de faire des concessions allant à l'encontre de sa personnalité. C'est que l'on appelle l'amour fusionnel.Il est beau mais violent, l'arrachement est brutal, un sentiment morbide nous anime et s'accompagne d'un retour très difficile à la réalité. Le sommet de la tour de Babel est atteint pour s'ensuivre avec un plongeon en chute libre qui semble interminable. Heureusement que la raison a pris le dessus......L'amour rend aveugle et peut nous rendre paraplégique....C'est une force qui peut se retourner contre soi, jusqu'à nous faire perdre notre égaux et surtout notre raison d'être, un plongeon vers le couloir de la mort...Mais peu le connaitrons...
    En effet, comme le soulève Amélie Nothomb, « les grands amoureux furent éduqués à l'école de la faim », c'est dans cette souffrance d'un vide existentiel qu'une quête interminable et insatiable de l'amour commence.....Les êtres nés rassasiés ne connaitrons jamais cette angoisse permanente .Mais c'est cette angoisse, cette attente inlassable qui nous rend fondamentalement humain. La puissance créatrice commence à se mettre en ébullition quant l'esprit commence à vagabonder et s'ennuyer.
    Mais l'amour ne se limite pas à une union entre deux êtres qui s'aiment, elle prend naissance dans cette survie existentielle et ne se caractérise également pas ce sentiment puissant de créativité. Cette créativité marque un désir de sentir notre être prendre un sens, au travers de l'art. Les sens s'exaltent pour laisser place à un univers inconnu celui de l'imaginaire.C'est une union entre son être et son imaginaire, qui peut nous éprendre tout une vie et devenir un pilier existentiel...

    L'art en déclin


    Que représente le combat contre la mort ? Ne serais ce pas maîtriser les différentes causes à effets de l'existence, essayer de cerner l'essence de la vie et de ces fruits ? Cela passe par la science, l'histoire, l'ethnologie, et bien d'autres domaines encore.Ce donner un rôle pour assumer la réalité. Mais également cette soif créative sans limite, en exploitant au maximum ce que la nature nous à offert. Je m'émerveille devant certaines créations comme le jeu d'échecs débouchant sur des parties toujours différentes et passionnantes, l'avancée fulgurante de la science, des découvertes scientifiques. Il en est une qui m'a toujours fasciné c'est celui du nombre complexe appelé avec lyrisme le nombre imaginaire noté i, base de tous les outils de télécommunications. Son nombre résout une équation absurde telle que x^2= -1 ce qui est en effet impossible avec un nombre réel !!! Mais également le nombre pie permettant notamment de calculer l'aire d'un cercle. On arrive toujours à trouver des chiffres clés, des équations, formules pour simplifier, traduire et comprendre le réel. Le réel est t'il relatif, rationalisable et se concorde t'il dans son essence ou bien est ce l'homme qui le rend relatif et cohérant? Le temps par exemple n'existe-t-il pas uniquement parcque l'homme lui a donné un sens ? Il se base en effet sur notre système solaire mais aurait pu très bien avoir un autre referenciel ou n'avoir jamais existé. Il est difficile de répondre à cette question puisque l'homme actuel ne peut s'abstraite complètement du temps qui passe. Il en en est devenu foncièrement dépendant. C'est fascinant d'observer comme l'homme s'attache à l'objet de sa création , et crée des nécessités quasiment vitales dont on peut difficilement s'en séparer.Ces besoins sont'ils si vitaux ?L'organisation humaine serait t'elle perdue sans notion du temps qui passe ?Il est difficile de s'imaginer en effet un monde dont les fonctionnements organisationnels seraient diametralements opposés à celui que nous connaissons.De même, il est encore plus ardu d'admettre l'existence d'un univers éyant des lois différentes du notre.Un univers ou rien ne serait limité par le temps ou tous les êtres auraient une existence infini. Ceci dénote sa puissance créatrice.
    L'art, la science et la philosophie sont étroitement liés, ce sont des domaines indissociables. Je contemplais un soir les créations de Hanne Darboven, artiste contemporaine qui lie dans ces œuvres d'arts la géométrie et les suites numériques avec son imaginaire. Une œuvre d'art intelligible est souvent fondée sur des lois mathématiques et physiques.L'architecture se base d'ailleurs sur des principes mathématiques et physiques, et se mélange avec l'art des formes et des couleurs.
    Tout artiste ou scientifique se doit d'allier ces différents regards en mélangant rationnel et imaginaire, expérience et créativité.Il serait réducteur d'avoir un regard univoque et unique, car une pensée unidirectionnelle est figée dans une certaine forme de réalité. Imaginez vous le regard d'un homme dans un train avançant à vitesse constante dont les fenêtres ont été obscurcies, à ces yeux le train est immobile pourtant il est en plein mouvement. Ce train lui aussi semble se déplacer dans une direction unique pourtant son déplacement relativement à notre système solaire décrit un trajet sinueux.La réalité se modifie des lors qu'un changement de referenciel s'opere.D'ou la nécessité de pouvoir jongler avec ces différents référentiel pour avoir une vision plus juste du réel.Un regard en trois dimension sur le monde , capable de réveiller certains aspects de la réalité encore méconnue jusqu'à ce jour.Un aventurier du réel et de son imaginaire.

    Mon coeur éparpillé


    Souvent mon esprit vagabonde entre une multitude de sphère, je délecte cette pluralité et cette dualité social cela représente une aventure sociale dont j'en suis devenu viscéralement dépendant. Cette soif de rencontre , de découverte n'ait pas anodine .En effet,Je suis devenu très tôt orphelin, plongé dans une existence incertaine et cruellement réaliste.Je me suis alors retourner sur les autres et sur le monde extérieur pour combler ce vide affectif au travers de cette grande famille humaine et cueillir certaines fleurs dans ce jardin d'éden même si elles sont pour certaines fanées.En effet, dans ma tendre enfance j'ai vécu l'opulence matérielle et affective d'un cocon protecteur puissant , connaissant ainsi la jouissance d'un environnement positif et chaleureux . Mon père se donnait de cœur joie à me traiter de coq en patte, pour décrire la vie de pacha que je menais avant le décès de ma très chère et tendre grande mère. Ce décès fut pour moi la perte d'une mère, véritable puit de tendresse et d'affection. C'était le portrait d'une femme méridionale à fort caractère, doté d'un instinct maternel et protecteur gigantesque.A la suavité de son visage se mêlait une gentillesse et une dévotion sans limite à mon égard. C'était un ange protecteur qui a fait de moi un damné une fois qu'elle a pris son envol. La chute libre vers la réalité fut alors brutale et violente....mais génératrice de créativité.
    A cela vous rajoutez le fruit d'une union littéralement opposé entre un père député d'extrême droite ,charismatique , militant jusqu'à la mort et une mère fondamentalement socialiste mais paradoxalement égocentrique et matérialiste, ayant de surcroît des cousines camerounaises . Vous générez un berceau baignant alors à la fois dans un contraste idéologique et de caractère, mais également dans une solitude déconcertante où je n'avais plus aucune place pour trouver de repère dans ce cocon défunt et recomposé puisque mes parents se sont séparés très tôt et on recomposait chacun une nouvelle famille. Tous ces facteurs m'ont alors ouvert les yeux sur divers facettes de la réalité. Au niveau idéologique,je n'ai pas pris parti de me positionner parmi ces extrêmes , mais j'ai appris à travailler mon esprit critique .Je ne parlerais pas de juste milieu , ni d'équilibre ou de symbiose mais de bon sens et d'observations. Il y a du juste dans tous propos même extrémiste , l'essentielle est de dissocier certains propos complètement exubérant avec d'autres nettement plus véridique .Au niveau affectif , j'ai préféré me couper définitivement de ces famille recomposées où je n'avais pas ma place plutôt que d'être tiraillé entre un sentiment de solitude et de dépendance incertaine. Livré à moi-même relativement tôt, j'ai du m'adapter à un monde complexe bourré de paradoxe, d'injustice et intransigeant.
    A la manière d'un caméléon je me suis immiscé dans un grand nombre de milieux sociaux culturelles , en favorisant la culture du paraître pour mieux passer inaperçu et m'harmoniser au maximum avec mon envrironnement.Je ne suis pas un de ces rebelles figés que la vie à rendu aigri ou obsessionnels , affichant des idées rigides et univoques , ou le corps et l'esprit sont devenu des outils pour afficher et démarquer un état d'esprit , un dogme ou une idéologie.....C'est un jeu auquel j'ai pris goût . Au delà d'être


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